Glutathione S-transferase M1 polymorphism and endometriosis susceptibility: A meta-analysis - 30/01/15
Summary |
Background |
Many studies have investigated the association between glutathione S-transferase M1 (GSTM1) null genotype and the risk of endometriosis. However, the effect of the GSTM1 null genotype on endometriosis is still unclear because of apparent inconsistencies among those studies. A meta-analysis was performed to characterize the relationship more accurately. PubMed, Embase, and Web of Science were searched.
Objective |
To derive a more precise estimation of the relationship, a meta-analysis was performed.
Methods |
We estimated the summary odds ratio (OR) with a 95% confidence interval (95% CI) to assess the association. Up to 24 case-control studies with 2684 endometriosis cases and 3119 control cases were included into this meta-analysis.
Results |
Meta-analysis of the 24 studies showed that GSTM1 null genotype was associated with the risk of endometriosis (random effects OR=1.66, 95% CI 1.23 to 2.24). In the subgroup analysis by ethnicity, increased risks were found for both Caucasians (OR = 1.26, 95 % CI 1.04–1.51) and Asians (OR=1.28, 95% CI 1.06–1.55). No evidence of publication bias was observed.
Conclusion |
In conclusion, this meta-analysis suggests that the GSTM1 null genotype increases the overall risk of endometriosis.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Introduction |
De nombreux travaux rapportent une association entre le génotype nul de la glutathione S-transférase M1 (GSTM1) et le risque d’endométriose. Cependant, l’influence du génotype nul de la GSTM1 sur l’endométriose reste peu connue en raison de la discordance des résultats.
Objectif |
Nous avons fait une recherche de la littérature à partir des bases de données Pubmed, Embase et Web of Science afin de préciser cette relation.
Méthodes |
Nous avons estimé l’odds-ratio (OR) et son intervalle de confiance à 95 % (IC95). La méta-analyse concernait 24 études cas-témoins incluant 2684 cas d’endométriose et 3119 cas témoins.
Résultats |
La méta-analyse des 24 études confirmait que le génotype nul de la GSTM1 est associé à un risque accru d’endométriose (OR par rapport à un effet aléatoire = 1,66 [IC95 de 1,23–2,24]). Par groupe ethnique, le risque est augmenté pour les populations d’origine caucasienne (OR = 1,26 [1,04–1,51]) et asiatique (OR=1,28 [1,06–1,55]). Aucun biais de publication n’est retrouvé.
Conclusion |
Cette méta-analyse suggère que la présence du génotype nul de la GSTM1 augmente le risque d’endométriose.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Endometriosis, GSTM1, Meta-analysis, Polymorphism
Mots clés : Endométriose, GSTM1, Méta-analyse, Polymorphisme
Plan
Vol 44 - N° 2
P. 136-144 - février 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.