Utilisation des antagonistes de la GnRH au cours des stimulations pour inséminations intra-utérines : y a-t-il un intérêt ? - 23/06/08
pages | 6 |
Iconographies | 0 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
Résumé |
L’utilisation des antagonistes de la GnRH au cours des cycles d’insémination intra-utérine est relativement récente. Son premier objectif a été de permettre aux centres d’assistance médicale à la procréation de planifier au mieux les inséminations en évitant de les réaliser le week-end. Cependant, l’impact de leur utilisation sur les taux de grossesse reste incertain, considéré l’analyse des données de la littérature. De plus, le retentissement des antagonistes sur la stimulation proprement dite et sur la taille de la cohorte folliculaire, en particulier, mérite d’être étudié avant une éventuelle prescription à plus large échelle.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Abstract |
The use of the GnRH antagonists during ovarian stimulation for intrauterine insemination is relatively recent. The primary aim was to improve the timing of the inseminations on working days. However, according to published data, the consequences on pregnancy rate remain uncertain. Moreover, the impact of this strategy on stimulationʼs parameters, specifically on the size of the follicle cohort, should be better assessed.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Assistance médicale à la procréation (AMP), Antagonistes de la GnRH, Insémination intra-utérine, Pic endogène de LH
Keywords : Assisted reproductive technologies (ART), GnRH antagonists, Intrauterine insemination, Endogenous LH surge
Plan
Vol 36 - N° 6
P. 644-649 - juin 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?