Infection génitale à papillomavirus humain au cours des maladies auto-inflammatoires et/ou auto-immunes - 24/07/11
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Résumé |
L’évolution thérapeutique des dernières années a totalement transformé la prise en charge de patients souffrant de pathologies dysimmunitaires auto-immunes et/ou auto-inflammatoires nécessitant un traitement immunosuppresseur classique ou biologique. Ces affections et ces traitements prédisposent aux infections et en particulier aux infections génitales par Papillomavirus humains (HPV). Ces infections ont été particulièrement étudiées chez les patients transplantés d’organe ou infectés par le virus de l’immunodéficience humaine ou porteurs de déficits immunitaires congénitaux. Si celles-ci se manifestent essentiellement par des lésions bénignes génitales externes (condylomes), le risque de tumeurs solides est augmenté chez ces patients. Or, il existe très peu de données sur l’infection génitale à HPV au cours des maladies auto-immunes ou auto-inflammatoires et de leurs traitements. C’est pourquoi il nous a semblé utile de faire le point sur les infections génitales à HPV dans ces situations.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Papillomavirus humains, Lupus, Maladies auto-immunes, Biothérapies, Immunosuppression
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais sa référence anglaise dans le même volume de Joint Bone Spine (doi:10.1016/j.jbspin.2011.03.002). |
Vol 78 - N° 4
P. 313-318 - juillet 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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