L’entraînement par intervalle à haute intensité a des effets supérieurs à l’entraînement modéré continu sur le risque cardiovasculaire chez les patients présentant un syndrome métabolique, avec des effets similaires sur la repolarisation ventriculaire - 04/09/11
Doi : 10.1016/j.rehab.2011.07.521
M.-J. Drigny a, ⁎, M. Gayda b, A. Nigam c, V. Guilbeault c, M. Juneau c, V. Gremeaux d
a Institut de cardiologie de Montréal, centre de prévention et d’activités physiques (centre ÉPIC), 5055, rue St-Zotique Est H1T 1N6 Montréal, Québec Canada
b Centre de prévention et d’activités physiques de l’institut de cardiologie de Montréal (centre ÉPIC ; département de Kinésiologie, université de Montréal, Canada
c Centre de prévention et d’activités physiques de l’institut de cardiologie de Montréal (centre ÉPIC), Montréal, Canada
d Centre de prévention et d’activités physiques de l’institut de cardiologie de Montréal (Centre ÉPIC), Pôle rééducation-réadaptation, CHU Dijon, Dijon France
Auteur correspondant.
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Mots clés : Syndrome métabolique, Exercice, Entraînement par intervalle, Repolarisation venriculaire, Arythmie
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© 2011
Publié par Elsevier Masson SAS.
Vol 54 - N° S1
P. e151-e152 - octobre 2011 Retour au numéro
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