Anti-inflammatoires non stéroïdiens et vaisseaux - 25/05/13
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Le risque cardiovasculaire des anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) fait l’objet de controverses. Seule l’aspirine à faible posologie a un effet protecteur vasculaire. En prévention secondaire, son intérêt est démontré. Il est discuté en prévention primaire et les recommandations divergent entre les pays. Les AINS, qu’ils soient sélectifs de la cox-2 ou non sélectifs, augmentent le risque cardiovasculaire. Le naproxène est l’AINS qui augmente le moins le risque cardiovasculaire. Chez les patients ayant des antécédents de cardiopathie ischémique, le diclofénac semble être le plus à risque, mais le traitement AINS quel qu’il soit devrait être proscrit. Des incertitudes persistent sur l’interaction de l’aspirine et des AINS ou de l’aspirine et des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP). De même, la toxicité cardiovasculaire du paracétamol ne semble devoir être totalement exclue.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Anti-inflammatoires non stéroïdiens, Aspirine, Paracétamol, Infarctus du myocarde, Accident vasculaire cérébral, Décès d’origine cardiovasculaire
Plan
Ne pas utiliser, pour citation, la référence française de cet article, mais la référence anglaise de Joint Bone Spine avec le DOI ci-dessus. |
Vol 80 - N° 3
P. 204-208 - mai 2013 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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