Laparoscopic sacrocolpopexy with a vaginal prosthetic adhesive - 10/06/15
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Abstract |
Study objective |
To evaluate the efficacy and safety of vaginal prosthetic adhesive (VPA) during laparoscopic sacrocolpopexy.
Design |
Retrospective analysis of 35 first consecutive cases.
Setting |
Gynecology Surgery Unit, Bouchard Clinic, Marseille, France.
Patients |
Thirty-five women (age range: 35–85 years; average 60.8 years) presenting a genital prolapse assessed by a Pelvic Organ Prolapse Quantification (POP-Q) Score (stage 2 to 4).
Procedures |
Modified laparoscopic sacrocolpopexy using a synthetic glue (Ifabond™, Peters Surgical®) to fix the mesh to the vagina (anterior and posterior) and to the levator ani. Two non-absorbable knots are used to secure the anterior mesh to the isthmus and to the promontory.
Measurements and main results |
The average operating time was 68.4 minutes (45–115 min). No complications occurred during the procedure and early postoperative course. One patient (2.8%) experienced mesh exposure, and one patient (2.8%) experienced a subacute intestinal obstruction, which was resolved by a medical treatment. During a median follow-up at 13.2 months (range: 6–24.7 months), the surgical success rate (POP-Q<2) was 94.2% (two recurrences). The patient satisfaction rate was 87%.
Conclusions |
The VPA during laparoscopic sacrocolpopexy seems to be safe and effective at short term. This new procedure due to adhesive opens up a new path for the widespread use of sacrocolpopexy and for reduced operating times, which is often one obstacle with the dissection in the development of this technique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Évaluer l’efficacité et l’innocuité d’emploi d’une prothèse vaginale encollée (PVE) par colle synthétique (Ifabond™, Peters Surgical®) dans le cadre d’une sacrocolpopexie laparoscopique.
Méthodes |
Analyse rétrospective des 35 premiers cas consécutifs colligés à la clinique Bouchard de Marseille. Les 35 patientes incluses (tranche d’âge : 35–85 ans ; moyenne 60,8 années) présentaient un prolapsus génital de stade 2–4 selon la classification Pelvic Organ Prolapse Quantification (POP-Q). Une sacrocolpopexie laparosopique modifiée utilisant de la colle chirurgicale pour fixer le treillis au vagin (antérieur et postérieur) et au releveur de l’anus a été pratiquée. Deux nœuds non-résorbables étaient utilisés pour fixer la prothèse antérieure à l’isthme et au promontoire.
Résultats |
La durée moyenne de l’intervention était de 68,4 minutes (de 45 à 115 min). Aucune complication n’est survenue pendant la procédure ou dans les suites immédiates. Une exposition de prothèse (2,8 %) a été notée ; un cas (2,8 %) d’obstruction intestinale subaiguë a été déploré et traité médicalement. Sur un suivi médian à 13,2 mois (extrêmes : 6 à 24,7 mois), le taux de réussite chirurgicale (POP-Q<2) était de 94,2 % (deux récidives). Le taux de satisfaction des patientes était de 87 %.
Conclusions |
L’usage de PVE au cours d’une sacrocolpopexie laparoscopique semble être sûr et efficace à court terme. Grâce à la colle, cette nouvelle procédure ouvre une nouvelle voie à l’utilisation démocratisée de la sacrocolpopexie par laparoscopie en favorisant notamment la réduction du temps opératoire, ce qui est souvent avec la dissection l’un des obstacles au développement de cette technique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Sacrocolpopexy, Laparoscopy, Vaginal prosthetic adhesive, Glue, Cyanoacrylate
Mots clés : Promontofixation, Laparoscopie, Encollage prothétique vaginal, Colle, Cyanoacrylate
Plan
Vol 43 - N° 6
P. 419-423 - juin 2015 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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