Management thérapeutique de l’hyperparathyroïdisme urémique récidivant - 20/10/15
Resumen |
Introduction |
Il y a un taux significatif de récidive de hyperparathyroïdisme (HPT) rénal après parathyroïdectomie sous totale (PTx sT) ou totale (PTxT) avec ou sans l’autogreffe. Les lésions responsables du HPT récurrent sont principalement les autogreffes parathyroïdes, les glandes parathyroïdes résiduelles ou ectopiques non détectées, carcinome parathyroïdien ou parathyromatose.
Observation |
Dans notre clinique 236 patients hémodialysées (entre 4-12 ans de dialyse) ont bénéficiés de PTx sT (32), PTxT avec l’autogreffe (98) et PTxT sans l’autogreffe (106) pour le HPT. Pendant les 14 dernières années, 93 rénaux graves d’entre eux ont développé la récurrence identifié par les réapparussions de syndrome algoosteodystrophique rénal et augmentation de parathormone intact (i PTH). Les critères d’inclusion dans la récurrence ont été les suivants : l’examen histologique positive pour tous les quatre glandes excisés, l’ablation complète des glandes hyperplasiques, amélioration jusqu’à normalisation de symptomatologie clinique, iPTH et calcémie normale pendant les dernières 6 mois, la présence d’une tumeur sur la place ou initialement se trouvait un tissue glandulaire normal. Les réinterventions sont imposé en 75 des cases, le reste (18) a été soigné par la thérapie calcimimétique. Vingt-neuf patients ont eu les glandes parathyroïdes avec ablations de tissu parathyroïdien restant, onze injections percutanées résiduelles, quinze patients ont eu une glande parathyroïde ectopique, un par un patient a eu une parathyromatose ou cancer (localisée par échographie, 99 mTc-sestamibi ou dosage étage de iPTH) et 31 ont eu un greffon hyperfonctionnel. On a pratiqué 35 recervicotomies d’éthanol et 29 ablations des greffons pathologiques. Sans récidive depuis trois années.
Discussion et conclusion |
La récurrence peut être causée par l’insuffisance localisation pré ou intra-opératoire de parathyroïde, technique chirurgicale déficitaire ou inadéquate, l’existence des glandes surnuméraires ou ectopiques. Aucune des techniques utilisées actuellement ne constituée pas une option définitive (n’existe pas une « standard d’or » dans la chirurgie de HPT urémique), fait démontrable par les hautes nombres des récidives ou persistances dans l’ère de TDM, IRM, Mibi, ou intra-opératoire monitorisation du parathormone. La parathyroïdectomie guidée par radiofréquence pour l’HPT rénal peut théoriquement diminuer le risque de le HPT persistant et récurrent. Injection percutanée par ultrasons guidée réussie d’éthanol pour le HPT secondaire récidivant peut être constituée une solution idéale, avec le risque de paralysie de nerf récurrente in récidive cervicale. La thérapie calcimimétique en cas bien sélectionné peut réaliser un confort symptomatique. Le transplant rénal représente la meilleure solution pour éviter la récurrence.
Déclaration d’intérêt |
Les auteurs n’ont pas transmis de conflits d’intérêts.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Vol 152 - N° 5S
P. A18-A19 - octobre 2015 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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