Syndrome d’interruption de la tige pituitaire - 10/03/16
Resumen |
Objectifs |
Démontrer l’apport de l’imagerie par résonance magnétique dans le diagnostic du syndrome d’interruption de la tige pituitaire (SITP). Connaître les signes radiologiques de ce syndrome.
Matériels et méthodes |
Illustration à partir de la base de données de notre service de radiologie du CHU Mohammed VI de Oujda et de la revue littéraire.
Résultats |
L’interruption de la tige pituitaire peut être malformative (aplasie ou hypoplasie) ou post-traumatique (souvent notion de souffrance néonatale). Elle se manifeste cliniquement par une insuffisance antéhypophysaire et en particulier l’insuffisance gonadotrope confirmée par les dosages hormonaux. L’IRM est la méthode de choix et deux pondérations doivent être réalisées : T1 et T2 en écho de spin avec des coupes fines de 1,5 et 2,5mm dans des plans d’acquisition différents, l’injection des chélates de gadolinium est nécessaire permet une meilleure étude de la tige pituitaire par rehaussement du contraste de celle-ci. La tige pituitaire peut être non visible ou très fine associée à une hypoplasie de l’antéhypophyse et à une posthypophyse ectopique, ce qui constitue le SITP.
Conclusion |
Le diagnostic du SITP repose sur une bonne analyse de la sémiologie IRM tenant compte du contexte clinico-biologique.
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Vol 43 - N° 2
P. 114 - mars 2016 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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