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Risques de transmissions croisées d'agents infectieux en odontologie - 23/12/16

[28-005-I-10]  - Doi : 10.1016/S0000-0000(09)51618-X 
J.-M. Livrozet a,  : Praticien hospitalier, F. Tissot-Guerraz b : Maître de conférences des Universités en santé publique, médecin épidémiologiste, expert agréé près la Cour de cassation en infection nosocomiale, J. Ritter c : Maître de conférences des Universités, praticien hospitalier
a Service de médecine de la transplantation et d'immunologie clinique, Pavillon P, Hôpital Édouard-Herriot, 5, place d'Arsonval, 69437 Lyon cedex 03, France 
b Faculté de médecine Lyon-Sud, chemin du grand-revoyet, 69400 Oullins, France 
c Laboratoire de virologie, Groupement hospitalier-Nord, 103, grande rue de la croix-rousse, 69317 Lyon cedex 04, France 

Auteur correspondant.

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Artículo archivado , publicado en el tratado Médecine buccale

Résumé

L'apparition de l'épidémie de virus de l'immunodéficience humaine (VIH), en 1981, a fait prendre conscience à l'ensemble des soignants du risque de transmission d'agents infectieux pathogènes au cours d'actes chirurgicaux, et particulièrement aux chirurgiens-dentistes. En effet, en dehors du VIH, les virus de l'hépatite B et de l'hépatite C sont à prendre en compte. Le respect des précautions standards permet d'éviter la transmission de ces virus entre les patients et diminue le risque de contamination au cours des soins. Lors d'un accident percutané, le risque de transmission du VIH est de 0,32 %. Il est de 0,03 % lors de projection cutanéomuqueuse. Il existe un traitement prophylactique postexposition utilisant une trithérapie antirétrovirale qui permet de limiter ce risque en cas d'accident d'exposition. En ce qui concerne le VHC, le risque de transmission est de 0,5 % lors d'un accident percutané. Une surveillance biologique permet de mettre en route un traitement en cas de primo-infection par le VHC chez le soignant blessé. Pour le VHB, il existe une obligation vaccinale pour le personnel soignant. Si le taux d'anticorps protecteurs est insuffisant, des immunoglobulines spécifiques sont administrées après l'accident. Pour les trois virus, de rares cas de transmission de soignants à des patients ont été décrits. En France, le Conseil national d'hygiène a rendu plusieurs avis permettant la poursuite de l'activité professionnelle des soignants contaminés sous certaines conditions. Au Royaume-Uni, en revanche, une interdiction d'exercer a été promulguée pour les dentistes porteurs du VIH. Afin de limiter le risque de transmissions croisées d'agents infectieux au cabinet dentaire, il est nécessaire d'améliorer les connaissances des étudiants sur ces virus et les précautions standards. D'autre part, un meilleur accueil des patients porteurs de ces virus permettrait une révélation plus fréquente au praticien du statut sérologique du patient et donc une meilleure sécurité. Enfin, les praticiens doivent avoir connaissance des ressources disponibles près de leur cabinet en cas d'accident.

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Mots clés : Accident exposant au sang, Virus de l'immunodéficience humaine, Virus de l'hépatite B, Virus de l'hépatite C, Précautions universelles, Traitement postexposition


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