Environnement microbiologique et risque allergique : et si la localisation géographique du logement était déterminante ? - 16/09/17
, Gabriel Reboux 1, 2, Emeline Scherer 1, 2, Audrey Laboissière 2, Mallory Vacheyrou 1, Chantal Raherison 3, 4, 5, Laurence Millon 1, 2, 6Resumen |
Des études ont montré que les microorganismes de l’environnement intérieur peuvent avoir un rôle délétère ou protecteur vis-à-vis des pathologies allergiques. En revanche, les espèces impliquées, leurs rôles ainsi que les seuils déclencheurs des symptômes ou ayant un effet vaccinal sont encore à définir. Seule une quantification spécifique de différents microorganismes présents dans l’environnement intérieur, avec un suivi épidémiologique d’une large cohorte d’enfants (de la naissance à l’âge adulte) comme l’étude Étude Longitudinale Française depuis l’Enfance (ELFE), pourrait permettre de répondre à ces questions.
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Vol 27 - N° 3
P. e41-e42 - septembre 2017 Regresar al número
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