Revising the species “Mustela” ardea Gervais, 1848–1852 (Mammalia, Mustelidae): Martellictis gen. nov. and the systematics of the fossil “Galictinae” of Eurasia - 17/09/18
Révision de l’espèce « Mustela » ardea Gervais, 1848–1852 (Mammifères, Mustelidae) : Martellictis gen. nov. et systématique des « Gallictinae » fossiles d’Eurasie
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Abstract |
A number of recent genetic and systematic reviews have changed our knowledge of the taxonomy of Mustelidae. In particular, the subfamily Galictinae Reig, 1956 has been recently grouped in the subfamily Ictonychinae Pocock, 1921. Among the Eurasian fossil taxa of this subfamily, the first to be described were Enhydrictis Major, 1901 and Pannonictis Kormos, 1931. The latter genus is well characterised from the Plio-Pleistocene deposits of central and southern Europe, whereas Enhydrictis is an endemic and enigmatic form, recovered from late Pleistocene localities of Sardinia. Other recent studies have revealed a more palaeodiverse and complex taxonomic scenario than was previously thought. Based on various evidence, this review proposes a reinterpretation of the material of the galictini from early Pleistocene sites such as St. Vallier and Olivola, historically named “Mustela” ardea Gervais, 1848–1852, and its attribution to Martellictis gen. nov. The definition of Martellictis ardea reveals a more complex systematic panorama of western Eurasian Ictonychinae, and at the same time, this re-ascription stresses the importance of understanding the possible origin of the different morphological adaptations (such as those of Enhydrictis) and clarifying the phylogenetic relationships among these taxa.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Résumé |
De nombreuses revues génétiques et systématiques récentes ont changé nos connaissances sur la taxonomie des Mustelidae. En particulier, la sous-famille des Galictinae Reig, 1956 a été récemment regroupée avec la sous-famille des Galictinae Reig, 1921. Parmi les taxons fossiles eurasiens de cette sous-famille, les premiers à avoir été décrits ont été Enhydrictis Major, 1901 et Pannonictis Kormos, 1931. Ce dernier genre est bien caractérisé dans les dépôts pliocènes–pléistocènes de l’Europe centrale et méridionale, tandis qu’Enhydrictis est une forme endémique et énigmatique, récoltée dans des localités du Pléistocène sarde. D’autres études récentes ont révélé un scénario taxonomique plus paléodiversifié et complexe qu’on ne le pensait auparavant. Fondée sur des preuves variées, cette revue propose une réinterprétation du matériel de gallictini de sites du Pléistocène inférieur, tels que Saint-Vallier et Olivola, historiquement dénommé « Mustela » ardea Gervais, 1848–1852 et attribué à Martellictis gen., nov. La définition de Martellictis ardea révèle un panorama systématique plus complexe d’Ictonychinae et, en même temps, la réattribution souligne l’importance d’une bonne compréhension de l’origine possible des adaptations morphologiques (telles celles d’Enhydrictis) et de la clarification des relations phylogénétiques parmi ces taxons.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Keywords : Ictonychinae, Galictini, Martellictis gen. nov., Pliocene, Pleistocene, Phylogenetics
Mots clés : Ictonychinae, Galictini, Martellictis gen, Pliocène, Pléistocène, Phylogénétique
Esquema
Vol 17 - N° 8
P. 522-535 - octobre 2018 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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