Effet de la qualité du sommeil sur la pression artérielle nocturne - 03/03/20
Resumen |
Objectif |
Évaluer la relation entre la pression artérielle nocturne élevée e le sommeil.
Méthodes |
Étude transversale colligeant 74 cas d’HTA diagnostiqués par mesure ambulatoire de la pression artérielle (MAPA) au service d’explorations fonctionnelles du CHU Farhat Hached de Sousse. Un recueil des antécédents, des données anthropométriques était réalisé avec évaluation du sommeil sur les échelles d’Epworth, STP BANG et Pittsburgh. La corrélation a été étudiée par le test de Pearson avec un p significatif<0,05 sur le logiciel SPSS20.
Résultats |
L’âge moyen était 55,93±13,1 ans [18–87], l’indice de masse corporelle moyenne était 30,81±5,5kg/m2 [22,57–45,5]. La pression artérielle systolique nocturne (PASN) était élevée dans 62,2 % des cas avec une PASD moyenne à 125,68±12,55mmHg. La pression artérielle diastolique nocturne (PADN) était élevée dans 67,6 % avec une PADN moyenne à 74,56±9,48mmHg. Les patients ayant une PASN élevée présentaient plus d’apnée, plus de somnolence diurne excessive et plus d’insomnie, mais sans différence significative (p>0,05). Il n’y avait pas de différence significative concernant les questionnaires de Pittsburgh et Epworth. Les patients ayant une PADN élevée présentaient plus d’insomnie avec une différence significative (p>0,047). Il n’y avait pas de différence significative concernant les questionnaires de Pittsburgh et Epworth.
Conclusion |
Les troubles du sommeil semblent avoir un effet délétère sur la pression artérielle. La réalisation d’autres études dans ce sens (sur un échantillon plus large)serait souhaitable pour mieux explorer cette relation.
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Vol 17 - N° 1
P. 66 - mars 2020 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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