EP15 - 09/04/08
S. Crelerot [1],
V. De Larminat [2],
J. Tyrode [2],
N. Rathay [2],
P. Doutre [2],
JJ. Terzibachian [3],
A. Litzler [4],
M. Martin Lobjoy [5]
Ver las filiacionesLa prise en charge de la douleur postopératoire dépend de plusieurs acteurs : (i) sa prescription est sous la responsabilité de l’anesthésiste (MAR) ; (ii) sa mise en application précoce dépend des IADE, IDE en SSPI ; (iii) son suivi et sa réévaluation en service de soins reviennent à l’équipe soignante. Une bonne coordination du travail de ces acteurs est favorisée par le recours aux procédures, aujourd’hui obligatoires. Pour respecter ces procédures, notre établissement a élaboré ses propres « prescriptions standardisées » adaptées à chaque service de chirurgie. Pour les services d’ORL et de gynécologie, il a paru souhaitable de créer un document optimisé pour :
- améliorer la traçabilité de la prescription antalgique et limiter les erreurs de retranscription ;
- améliorer la continuité de la prise en charge en tenant compte des évaluations systématiques ;
- autonomiser le travail des IDE grâce à des conduites à tenir précises avec réponse graduelle en cas de douleur rebelle dans un cadre sécuritaire ;
- favoriser l’harmonisation des prescriptions lors de l’absence du MAR référent ;
- prévoir systématiquement le relais oral du traitement antalgique.
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Vol 8 - N° HS1
P. 103 - octobre 2007 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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