Pulpites iatrogènes. Traitements étiologiques préventifs et curatifs - 01/01/94
Université de l'Egée, Bornova-Izmir (Turquie) France
Resumen |
Devant la diversité de l'étiologie des maladies, l'esprit cartésien, en médecine, a voulu créer des groupes de causes étiologiques détaillés ou simples, mais généralement commençant par le regroupement de trois catégories principales : causes biologiques, physiques et chimiques, pour distinguer ensuite d'autres sous-groupes. Mais parmi tous ces facteurs étiologiques, ceux de caractères iatrogènes, les plus faciles à éliminer, constituent malheureusement le groupe le plus nombreux, le plus méprisé de tous ; une catégorie qui, en principe, ne devrait jamais exister dans n'importe quelle classification des facteurs étiologiques de n'importe quelle maladie, même des pulpites. Car ces maladies, dans l'ensemble, aboutissent à inculper le métier, l'art honorable d'Hippocrate, à accuser le praticien, le " iatros " d'autrefois. Faudra-t-il encore attendre longtemps pour que les praticiens deviennent plus conscients et que cette accusation soit effective.
On accepte bien le terme " traitement iatrogène ", mais est-il facile de comprendre le pourquoi d'une étiologie iatrogène ? Est-ce une négligence ou une omission ? Est-ce le zèle ou la hâte ? Ce n'est peut-être qu'une ignorance partielle des conceptions biologiques, des moyens de la technologie ou des méthodes d'adaptation à la biologie.
Cependant, dans une perspective biologique, " traiter " ne doit-il pas toujours être " traité en bien " ? En médecine, traiter ne peut être utilisé qu'au sens propre de " bien traiter ". Pour pouvoir réaliser un traitement efficace, il faut au moins connaître ses conditions, ses nécessités et ses possibilités, mais toujours dans une perspective biologique.
Esquema
Bienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
El acceso al texto completo de este artículo requiere una suscripción.
¿Ya suscrito a este tratado ?