Mise en place de comités d’éthique pour la recherche biomédicale dans les pays émergents : le cas du Rwanda - 03/08/09

Doi : 10.1016/j.ddes.2009.06.002

Jean-Paul Rwabihama ^a,^⁎ : Doctorant en Droit de la santé, praticien attaché, Catherine Girre ^b : Praticienne hospitalier, responsable du Master de recherche « Éthique et Droit de la santé », faculté de médecine de Paris-Diderot, Kayitesi Kayitenkore ^c : Présidente du Comité national d’éthique au Rwanda, Anne-Marie Duguet ^d : Maître de conférences des Universités, Toulouse
^a Pôle de soins de longue durée, groupe hospitalier Joffre-Dupuytren, AP–HP, 1, rue Louis-Camatte, 91211 Draveil, France
^b Hôpital Fernand-Widal, AP–HP, 200, rue du Faubourg-Saint-Denis, 75010 Paris, France
^c Ministère de la Santé, Kigali, Rwanda
^d Unité Inserm 558, faculté de médecine, université Paul-Sabatier, 37, allées Jules-Guesde, 31073 Toulouse, France

Auteur correspondant.

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Résumé

Afin d’assurer le respect de la dignité et des droits des participants à une recherche biomédicale, il est indispensable d’obtenir l’approbation d’un comité d’éthique. L’installation d’un tel comité au Rwanda est née de l’initiative d’une équipe locale indépendante, le Projet San Francisco, structure élargie puis reconnue par le ministère de la Santé pour devenir l’organe d’analyse des questions éthiques dans la recherche biomédicale.

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