La transplantation pulmonaire a deux objectifs primordiaux, l’amélioration de la durée et de la qualité de vie. Cependant, au vu du nombre limité de greffons disponibles, l’attribution doit se faire aux receveurs les plus adaptés. Une indication est l’insuffisance respiratoire terminale et ce malgré un traitement médical optimal. Comme pathologies sous-jacentes, on retrouve la mucoviscidose, la fibrose pulmonaire idiopathique, l’emphysème, et l’HTAP.

Les propositions faites lors de cette présentation relèvent surtout de l’expérience, car, en effet, il n’existe pas à l’heure actuelle d’études randomisées.

Il serait également important d’affiner les facteurs pronostiques (surtout chez les patients BPCO) et d’éviter d’adresser trop tardivement les patients dans un centre spécialisé (surtout dans le cadre de la fibrose pulmonaire mais aussi de la mucoviscidose).