TO05 - 17/02/08
Objectif : Notre étude cherche à mettre en évidence un effet antalgique de la relaxation dans une population ayant choisi cette pratique pour des raisons non médicales.
Population : Soixante douze sujets pratiquant la relaxation en M.J.C.
Procédure : 1/ au cours d’un entretien, nous recensons les sujets céphalalgiques ; 2/ ces personnes répondent à un questionnaire que nous avons élaboré et qui vise d’une part à explorer les motivations des sujets à pratiquer la relaxation (méthode associative et regroupement des réponses en métacatégories) et d’autre part à évaluer l’effet de la relaxation sur les maux de tête.
Résultats : Trente-deux pour cent des personnes qui pratiquent la relaxation sont céphalalgiques ; leurs motivations sont : attentes d’effets bénéfiques (52 %), difficultés psychologiques (33 %) et seulement 15 % de difficultés somatiques. On note 86 % d’amélioration des crises sur la fréquence, la durée et l’intensité.
Conclusion : La relaxation présente un intérêt dans la prise en charge des céphalalgies même chez des sujets qui ne la pratiquent pas dans cette intention.
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Vol 5 - N° 5-HS1
P. 12 - novembre 2004 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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