Le développement considérable qu'a connu la transplantation hépatique (TH) au cours de la décennie 1980-1990 a fait suite à sa reconnaissance comme seule solution thérapeutique actuellement envisageable pour un grand nombre de maladies du foie (tableau I). Les perturbations peropératoires observées sont multiples. Certaines sont communes à toute la chirurgie hépatique majeure dont la TH constitue un paradigme (pertes sanguines massives, conséquences des clampages veineux majeurs) ; d'autres sont plus spécifiquement liées à la mise en place d'une homogreffe en position orthotopique et au terrain auquel s'adresse préférentiellement cette intervention chirurgicale.

Esquema

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