Infections intracrâniennes : ce qu'il faut savoir avant l'imagerie - 24/04/17
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C'est un faisceau d'arguments clinico-biologico-radiologiques qui permet de suspecter une infection intracrânienne. L'exploration par l'imagerie n'est pas un prérequis systématique et ne doit pas retarder la mise en route d'un traitement dans certaines situations d'urgence. Toutefois, l'expertise radiologique intervient dès le diagnostic évoqué en permettant de localiser les structures atteintes (méninges, parenchyme cérébral, ventricules) et d'orienter vers un mécanisme physiopathologique (contamination par contiguïté ou voie hématogène). L'imagerie permet également d'évoquer les diagnostics différentiels, d'évaluer la gravité des lésions, d'assurer un suivi à la recherche de complications ou encore de confirmer une bonne réponse thérapeutique. Le diagnostic étiologique repose sur l'identification de l'agent pathogène. Afin d'aider au mieux le clinicien dans sa démarche diagnostique, le radiologue doit connaître les gammes diagnostiques à évoquer en fonction de différents paramètres tels que le statut immunitaire, les mécanismes physiopathologiques et la sémiologie radiologique. Dans cette partie sont décrites les principales données physiopathologiques et cliniques qui permettent de suspecter une infection et qui vont motiver la réalisation d'un complément d'imagerie. Nous verrons ensuite ce qu'il convient de chercher et décrire sur les différents types d'imagerie et ce que l'on doit en attendre pour proposer une gamme diagnostique en fonction des aspects et localisations des lésions.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots-clés : Méningite, Encéphalite, Abcès, Vascularite infectieuse
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