Artériopathies iatrogènes et toxiques - 09/08/17
pagine | 7 |
Iconografia | 0 |
Video | 0 |
Altro | 1 |
Riassunto |
Les artériopathies iatrogènes et toxiques, bien que non exceptionnelles, restent mal connues des médecins. Les troubles vasomoteurs réalisés peuvent être très variables : phénomène de Raynaud, acrorhigose, livedo réticulaire, ergotisme, syndrome amantadinique ou syndrome acrodynique. Les explorations complémentaires n'aident pas à l'enquête étiologique. Les diagnostics positif et étiologique reposent sur l'anamnèse. Les auteurs précisent les principales caractéristiques des artériopathies induites par les dérivés de l'ergot de seigle, les bêtabloqueurs, les chimiothérapies antinéoplasiques, les inhibiteurs calciques, les anorexigènes, le sumatriptan et d'autres molécules pour lesquelles les preuves d'imputabilité sont moins bien établies. Sont également abordées les artériopathies iatrogènes non médicamenteuses, toxiques professionnelles, et celles induites par consommation de drogue (cannabis, cocaïne, amphétamine).
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots-clés : Phénomène de Raynaud, Acrorhigose, Livedo, Ergotisme, Érythermalgie, Acrocyanose, Iatrogénie
Mappa
Benvenuto su EM|consulte, il riferimento dei professionisti della salute.
L'accesso al testo integrale di questo articolo richiede un abbonamento.
Già abbonato a questo trattato ?