Chaussures de sécurité, de protection et de travail - 01/01/05
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Résumé |
La nécessité de protéger le pied au cours de certaines activités industrielles s'impose vers les années 1950 en France. Dès 1989, la conception des chaussures est soumise aux directives européennes, transposées dans le droit français et appliquées depuis le 1er janvier 1993. Les normes européennes (EN) s'imposent à tous parfois complétées par une norme ISO à l'initiative de certains fabricants à la recherche de produits de qualité. Actuellement, toutes les activités de travail salarié pratiquées chaussées bénéficient d'un équipement de protection individuel : chaussure de sécurité (EN 345), de protection (EN 346) ou de travail (EN 347). Chaque partie de la chaussure peut comporter un élément de protection : embout de protection plus ou moins résistant, protecteur latéral anticoupure, tige résistante ou imperméabilisée, semelle antiperforation, isolante contre le froid ou la chaleur, antidérapante, conductrice, antistatique, isolante, talon absorbeur d'énergie, etc. Chacune de ces protections répond à un risque, statistiquement significatif, lié au poste de travail ou à son environnement : écrasement d'orteil ou du métatarse, perforation plantaire, glissade, électrocution, exposition au chaud ou au froid, projection de particule toxique, chute sur les talons... Leur efficacité est prouvée mais leur acceptation reste parfois difficile. La féminisation des postes de travail a favorisé la recherche de chaussures esthétiques, plus légères et favorisant la lutte contre l'hyperidrose et ses conséquences.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots clés : Chaussure de sécurité, Chaussure de protection, Médecine du travail, Podologie, Protection individuelle
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