Imagerie du thorax dans les unités de soins intensifs de l'adulte - 07/08/15
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L'imagerie thoracique dans les unités de soins intensifs a pour but d'apprécier le matériel mis en place (cathéters veineux, sonde d'intubation, sonde œsogatrique, drain pleural notamment) et de savoir reconnaître l'existence de complications pleuroparenchymateuses et médiastinales. Cette imagerie est dominée par la radiographie thoracique car elle est suffisante dans la plupart des situations cliniques et la surveillance. Dans bon nombre d'unités de soins intensifs, sa réalisation reste systématique d'une manière quotidienne. Cette indication quotidienne ne devrait plus être systématique mais tenir compte des données cliniques. Son utilité dans le contrôle immédiat de la mise en place d'un matériel est reconnue. La difficulté de cette technique est surtout de savoir interpréter des lésions parenchymateuses, dont les étiologies peuvent être diverses, et que cette interprétation doit tenir compte des données cliniques, évolutives et biologiques. Si le scanner permet de réaliser un bilan pleuroparenchymateux et médiastinal plus complet, et pallier les insuffisances de la radiographie thoracique, ses indications doivent être soigneusement discutées car la mobilisation de certains patients peut décompenser un état clinique précaire. L'échographie est aujourd'hui sous-utilisée. Elle peut être utile pour guider et apprécier la position de certains matériels mis en place et sait reconnaître l'existence de certaines complications pleurales ou parenchymateuses pulmonaires.
Il testo completo di questo articolo è disponibile in PDF.Mots-clés : Unité de soins intensifs, Radiographie thoracique, Scanner, Échographie, Matériel, Complications pleuroparenchymateuses
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