Pseudophaquie. Aspects optiques. Calcul de la puissance de l'implant. Cristallin artificiel et aniséiconie - 01/01/02
11, rue Antoine Bourdelle, 75015 Paris
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Résumé |
La correction de l'aphaquie par un cristallin artificiel a été réalisée pour la première fois par l'Anglais H Ridley en 1949. D'emblée s'est posé le problème du calcul de l'implant.
Les aspects optiques posés par ce type de correction de l'aphaquie sont intéressants à connaître pour une bonne compréhension des formules de calcul et pour optimiser le geste chirurgical. Ainsi, l'implant de chambre postérieure réalise le système optique le plus proche de celui de l'oeil phaque normal en provoquant l'aniséiconie minimale. Les méthodes de calcul sont détaillées, ainsi que la comparaison de leurs résultats en fonction des amétropies rencontrées.
Les différents modes de mesure des paramètres essentiels que sont la kératométrie et la longueur axiale de l'oeil font l'objet d'un important chapitre. Le problème du calcul de l'implant chez des patients opérés au préalable de chirurgie réfractive est également détaillé.
Les progrès des formules de calcul et des techniques de l'oculométrie permettent aux chirurgiens de la cataracte d'offrir à leurs patients un résultat postopératoire très satisfaisant, c'est-à-dire plus ou moins une dioptrie de la réfraction désirée.
Mots-clés : pseudophaquie, cristallin artificiel, calcul de l'implant, formules de calcul d'implant cristallinien, oculométrie, biométrie oculaire, kératométrie, échographie en mode A, échographie en mode B, interférométrie, aniséiconie
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