Approche diagnostique des tumeurs osseuses - 01/01/00
Jean-François Chateil : Praticien hospitalier
Maryse Moinard : Praticien hospitalier
Catherine Soussotte : Chef de clinique-assistant des Hôpitaux
Olivier Hauger : Chef de clinique-assistant des Hôpitaux
Service de radiologie A, hôpital Pellegrin, place Amélie-Raba-Léon, 33076 Bordeaux France
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Résumé |
Malgré les très grands progrès des techniques d'imagerie et en particulier de la tomodensitométrie et de l'imagerie par résonance magnétique, la première approche diagnostique des tumeurs osseuses repose sur des clichés simples bien réalisés et soigneusement étudiés. L'analyse sémiologique en est maintenant parfaitement codifiée. L'aspect des bords de la lésion et de la réaction corticopériostée permet d'évaluer l'évolutivité de la tumeur. Ainsi, une lésion non agressive est plutôt bénigne, une lésion agressive peut être maligne ou infectieuse, tandis que pour un certain nombre de lésions intermédiaires, le diagnostic reste douteux.
L'analyse morphologique de la matrice tumorale, qui a beaucoup progressé avec la tomodensitométrie et l'imagerie par résonance magnétique, permet parfois des diagnostics plus précis, mais les possibilités de caractérisations tissulaires restent encore très limitées.
La confrontation des données radiologiques ainsi acquises avec les données épidémiologiques (âge, sexe, localisation) procure le plus souvent un ensemble d'informations suffisantes pour décider de la meilleure stratégie diagnostique et thérapeutique.
Plan
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