Principes d'action et indications de la toxine botulique dans le traitement de l'hyperactivité vésicale chez l'adulte - 21/06/13
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Depuis la première publication de l'usage de la toxine botulique en urologie en 1988 dans le traitement de la dyssynergie vésicosphinctérienne par injection intrasphinctérienne, son application dans le muscle lisse vésical a été rapportée pour la première fois en 2000 par Schurch et al. dans le traitement de l'hyperactivité vésicale (HAV) neurogène résistant aux anticholinergiques (Ach) chez le patient blessé médullaire aux autosondages. La toxine botulique de type A, la plus largement répandue en thérapeutique, est celle utilisé en urologie. Elle provient de deux souches différentes commercialisées sous les noms de : onabotulinum toxin A (onaBTA) ou Botox® et d'abobotulinum toxin A (aboBTA) ou Dysport®. Seule l'onaBTA (Botox®) a obtenu l'autorisation de mise sur le marché (AMM) en France en juin 2011 dans le traitement de l'HAV neurogène après échec des Ach. Son mécanisme d'action reste encore incertain dans le muscle lisse vésical mais plusieurs études semblent démontrer une action à la fois sur les voies afférente et efférente du réflexe mictionnel. Plus récemment, ses résultats dans le traitement de l'HAV idiopathique permettent d'envisager dans un futur proche une probable AMM dans cette indication. Il reste à définir, dans cette indication, la dose qui présenterait le meilleur ratio bénéfice-risque.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots-clés : Toxine botulique A, Hyperactivité vésicale neurogène, Hyperactivité vésicale idiopathique, Incontinence urinaire
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