Questions - 20/11/12
Questions
A | Quel est votre diagnostic pour l’atteinte hépatique (sans parler de la cause). Justifiez. Quels arguments pensez-vous nécessaires d’obtenir pour l’établir formellement? |
B | Quelles sont les causes les plus probables de cette maladie du foie. Classez-les par ordre de probabilité et donnez vos arguments. |
C | Quelles recherches demandez-vous pour établir la cause de la maladie du foie? |
D | Une endoscopie est effectuée. Quels arguments rassemblez-vous pour vous assurer du diagnostic de rupture de varices œsophagiennes? |
E | Quels co-facteurs auraient pu provoquer l’hématémèse? |
F | Un traitement par propranolol est proposé par le spécialiste. Quelles recommandations faites-vous au malade pour diminuer le risque de récidive de l’hémorragie? |
G | Le patient revient 3 mois plus tard, avec une ascite tendue et un ictère, une confusion et un astérixis. La température est de 38,1°C. Les transaminases sont à la limite supérieure des valeurs normales. GGT 4N, bilirubinémie 55 μmol/L, phosphatases alcalines 1,5N. Il n’a pas pris d’autre médicament que le propranolol. Quelle est la définition de l’astérixis? Quelles en sont les causes? Quelle évolution peut prendre le trouble en cause? |
H | Quelles affections sont possibles pour expliquer ce tableau? Classez par ordre de probabilité. |
I | Quelles recherches faites-vous effectuer pour l’établir? |
J | La ponction d’ascite montre : polynucléaires 550/mm3, lymphocytes 75/mm3, autres cellules 65/mm3; protides 12g/L. L’examen direct et la culture du liquide d’ascite ne montreront pas de germe. Quels diagnostics sont possibles? Justifiez. |
K | Que recherchez-vous? |
• | NFS : hémoglobine : 12,5g/dL, leucocytes : 4 200/mm3 dont 24 % de polynucléaires neutrophiles, plaquettes = 145 000/mm3; |
• | ASAT = 180 UI/L (normale < 40), ALAT = 95 UI/L (normale < 40), gamma-GT = 298 UI/L (normale < 40), phosphatases alcalines = 93 UI/L (normale < 130), bilirubinémie = 52 μmol/L (normale < 17), dont 43 μmol/L de bilirubine conjuguée; |
• | TP : 53 %; facteur V = 58 % et INR à 1,8. |
Questions
A | Quel est votre diagnostic clinique? Argumentez votre réponse avec les éléments cliniques fournis. |
B | Commentez les anomalies biologiques. |
C | Compte tenu des antécédents du patient, quelles explorations biologiques demandez-vous pour préciser le diagnostic étiologique? |
D | Donnez les principes du traitement à mettre en œuvre. |
E | Après le traitement que vous avez institué, le patient perd du poids et son périmètre abdominal diminue. Environ 3 semaines plus tard, il consulte pour une tuméfaction ombilicale de 2–3cm de diamètre, dure, très sensible et irréductible à la pression. Il n’y a pas de troubles digestifs. Quel diagnostic évoquez-vous pour cette tuméfaction? Quel en est le contenu le plus probable? |
F | Le patient a été opéré en urgence de cette tuméfaction et réalimenté au 2e jour post-opératoire. L’évolution est marquée par l’apparition au 4e jour post-opératoire d’une nouvelle prise de poids (+ 6kg), d’une distension abdominale et de l’extériorisation d’environ 700mL de liquide citrin par la cicatrice. Le patient est apyrétique et le transit est conservé. Quel(s) diagnostic(s) évoquez-vous? |
G | Biologiquement, on note une hyperleucocytose croissante (12 000 leucocytes/mm3 au 2e jour post-opératoire et 15 000 leucocytes/mm3 au 4e jour post-opératoire). Vous suspectez une infection bactérienne. Quel en est le site le plus probable et quel examen doit être réalisé pour le confirmer? |
H | Sur cet examen, quel(s) critère(s) confirme(nt) le diagnostic? |
I | Quel est le principe du traitement à instituer? |
J | Malgré ce traitement et une perfusion intraveineuse de 1 500mL/j de cristalloïdes, une insuffisance rénale apparaît avec une oligurie (diurèse : 400mL/24h), une élévation de la créatininémie à 250 μmol/L, et une natriurèse inférieure à 5mEq/L. Quel est votre diagnostic concernant cette insuffisance rénale? Quels sont les principes de son traitement? |
K | Le patient se plaint de douleurs au niveau de la cicatrice. On initie une prescription de morphiniques en patch et une benzodiazépine anxiolytique à la dose habituellement recommandée. Vingt-quatre heures plus tard, le patient présente des troubles de la vigilance. Il n’a pas de réponse aux consignes verbales. Il a une réponse motrice adaptée aux stimulations nociceptives. L’examen neurologique ne met pas en évidence de signe de localisation. Quel est votre diagnostic concernant les troubles de la vigilance? Quels sont les principes thérapeutiques à mettre en œuvre? |
Questions
A | Quelle est votre première hypothèse diagnostique (une seule)? Justifiez. |
B | Qu’allez-vous chercher à l’interrogatoire et à l’examen clinique pour confirmer le diagnostic, trouver sa cause, juger du retentissement de ces vomissements? |
C | La patiente a perdu 6kg en 1 mois (elle pèse actuellement 44kg pour une taille de 1,64m). Quel est votre diagnostic nutritionnel? Justifiez. |
D | L’endoscopie digestive haute montre une muqueuse duodénale très inflammatoire, avec de multiples ulcérations. Les biopsies duodénales montrent un infiltrat riche en lymphoplasmocytes, une désorganisation de l’architecture de la muqueuse, des ulcérations et des granulomes épithélioïdes et gigantocellulaires. La recherche d’Helicobacter pylori sur des biopsies antrales et fundiques est négative. Le diagnostic évoqué est celui de maladie de Crohn. Il n’y a pas d’autres signes cliniques. Quelles explorations complémentaires biologiques proposez-vous? Justifiez. |
E | Au terme des explorations, l’atteinte digestive apparaît limitée au grêle proximal. La patiente est traitée par oméprazole 20mg/j et prednisone 50mg/j par voie orale. Elle est perdue de vue. Trois ans plus tard, elle consulte pour des douleurs abdominales périombilicales rapportées par l’imagerie à une sténose du grêle médian. Elle est restée traitée par prednisone depuis 3 ans à des doses oscillant entre 10 et 30mg/j. L’indication opératoire est retenue et le chirurgien réalise une entérectomie de 30 cm emportant la zone pathologique. Sept jours plus tard, alors que les suites opératoires paraissaient simples, avec une réalimentation progressive dès le quatrième jour, la patiente se plaint de nausées, quelques vomissements, des douleurs abdominales diffuses modérées et d’une grande fatigue. L’examen clinique est normal, la patiente apyrétique. Pas d’hyperleucocytose ni de syndrome inflammatoire. Natrémie 130mmol/L, kaliémie 5,5mmol/L, glycémie 3,5mmol/L, créatininémie 90 micromol/L. La tomodensitométrie abdomino-pelvienne ne montre pas d’anomalie, notamment pas d’abcès. Quelle est votre principale hypothèse diagnostique? Justifiez. Aurait-elle pu être prévenue? Comment en faire le diagnostic? |
Questions
A | Quel diagnostic évoquez-vous en premier. Quelle en est l’origine la plus probable? Justifiez. |
B | Quelles explorations complémentaires sont nécessaires au diagnostic? Justifiez. |
C | Votre hypothèse est confirmée, quelle conduite à tenir immédiate allez-vous proposer (soyez précis)? Quelle surveillance mettez-vous en place par la suite? |
D | Quels sont les 2 facteurs favorisant la maladie causale les plus probables? Comment allez-vous les chercher? |
E | Cette complication aurait-elle pu être prévenue dans le cas précis de cette malade? Justifiez. |
F | Tous les facteurs favorisants ayant été écartés, six mois plus tard, alors que le traitement est arrêté depuis 1 mois, une gastroscopie est refaite en raison de douleurs épigastriques. Il existe un ulcère bulbaire et des érosions bulbaires et du deuxième duodénum. Quelles hypothèses diagnostiques formulez-vous? |
Questions
A | Que vous évoque le tableau douloureux chronique ancien du flanc droit? |
B | Les faits récents vous inquiètent-ils? Justifiez. |
C | Quelle est votre attitude? |
D | Si votre diagnostic explicatif des faits récents est confirmé, comment complétez-vous le bilan pré-thérapeutique? |
E | Quels conseils donnez-vous alors aux enfants de cette patiente? |
Questions
A | Quelle est votre attitude initiale? |
B | L’endoscopie digestive haute révèle une ulcération profonde de la région de l’angle gastrique, siège d’une suffusion hémorragique. Quelle surveillance instaurez-vous dans les heures qui suivent l’admission? |
C | Quelle est votre attitude vis-à-vis de l’ulcère? |
D | Dans quelle(s) circonstance(s) pourriez-vous être conduit à discuter une intervention chirurgicale d’hémostase? |
E | Pouvait-on réduire le risque d’hémorragie digestive chez ce patient? |
Questions
A | Que vous évoque cette symptomatologie? |
B | Que proposez-vous comme stratégie d’exp- loration? |
C | Si votre diagnostic est confirmé, quelle est votre attitude thérapeutique? |
D | En l’absence de traitement, quels seraient les risques évolutifs? |
Questions
A | Quelle(s) exploration(s) vous semble(nt) nécessaire(s) devant cette symptomatologie digestive? Quelles sont vos propositions thérapeutiques? |
B | Comment interprétez-vous la toux nocturne? |
C | Votre malade revient car la symptomatologie ne s’est pas améliorée. Que faites-vous? |
D | L’endoscopie œso-gastro-duodénale met en évidence une ascension de la ligne Z et la présence d’une zone circonférentielle de muqueuse glandulaire sur les 5 derniers cm de l’œsophage au-dessus du diaphragme. Les biopsies à ce niveau mettent en évidence une métaplasie intestinale. Quel est votre diagnostic et que faites-vous? |
E | Le malade n’a pas suivi vos conseils et a été perdu de vue. Il revient 6 ans plus tard à cause d’une sensation de blocage rétro-sternal pour les bouchées solides. Quelles sont vos hypothèses diagnostiques? |
Questions
A | Comment interprétez-vous le tableau douloureux abdominal décrit par cette patiente? |
B | Faites-vous faire des examens complémentaires? |
C | Comment interprétez-vous la constipation de cette patiente (argumentez)? |
D | Y a-t-il des explorations spécifiques à envisager pour cette constipation? |
E | Quel traitement prescrivez-vous pour soulager la douleur abdominale? |
• | glycémie : 10mmol/L; |
• | triglycérides : 2,2mmol/L; |
• | HDL cholestérol : 0,8mmol/L; |
• | LDL cholestérol : 2mmol/L; |
• | ALT : 85 UI/L (N < 40); |
• | AST : 68 UI/L (N < 35); |
• | GGT : 125 UI/L (N < 40); |
• | PAL 100 UI/L (N < 120); |
• | bilirubinémie totale 10 μmol/L; |
• | taux de prothrombine : 100 %; |
• | créatininémie : 85 μmol/L. |
Questions
A | Quel diagnostic principal évoquez-vous? |
B | Quelles sont les principales causes possibles à l’élévation des transaminases, et comment les recherchez vous? |
C | La recherche de toutes les causes dont la nature peut être précisée par un prélèvement sanguin est négative. Une ponction biopsie hépatique a été réalisée et montre : une stéatose macrovésiculaire; des lésions nécrotico-inflammatoires lobulaires constituées d’un infiltrat inflammatoire et d’une ballonisation des hépatocytes; une fibrose minime centro-lobulaire. Quel diagnostic retenez-vous? |
D | Quelles sont les conditions associées à cette pathologie? |
E | Quels examens demandez-vous compte tenu de la découverte du diabète? |
F | Quelles sont vos recommandations thérapeutiques et de surveillance? |
Questions
A | Quel diagnostic vous semble le plus probable? |
B | Quel examen (une seule réponse) demandez-vous pour confirmer le diagnostic? |
C | Quels examens demandez-vous pour préciser le stade de la maladie? Faut-il chercher des maladies associées et comment? |
D | Quels examens demandez-vous pour juger de l’état du malade en vue des traitements à envisager? |
E | En l’absence d’extension à distance, quel sera probablement le traitement proposé en réunion de concertation pluridisciplinaire et pourquoi? |
F | Avant de débuter le traitement, quelle mesure est à mettre en place rapidement? |
Questions
A | Quelle anomalie montre le lavement baryté? |
B | Quelle hypothèse diagnostique retenez-vous pour ces troubles digestifs chroniques? Sur quels arguments? |
C | Sur quels arguments une coloscopie vous paraît-elle justifiée? |
D | Prescrivez-vous d’autres examens complémentaires avant la coloscopie pour explorer ses symptômes (en dehors du bilan pré-anesthésique)? Justifiez votre réponse. |
E | La coloscopie confirme l’aspect noté sur le lavement baryté. Cette découverte modifie-t-elle votre diagnostic? Justifiez votre réponse. |
F | Quel traitement proposez-vous? |
• | température : 37,1°C; poids : 77kg; taille : 1,65 m; |
• | abdomen proéminent avec matité des flancs, mobile aux changements de position; circulation veineuse collatérale importante; nombreux angiomes stellaires; |
• | absence d’astérixis, absence d’ictère; |
• | toucher rectal normal; |
• | œdèmes des membres inférieurs; |
• | déficit des sensibilités profonde et superficielle aux membres inférieurs en chaussette; absence de réflexe achilléen. |
• | Hb = 11g/100 mL; Ht = 37 %; VGM = 104 μ3; GB = 8 700/mm3; plaquettes = 110 000/mm3; |
• | Na+ = 137mmol/L; K+ = 3,7mmol/L; HCO3− = 26mmol/L; |
• | Urémie = 5,7mmol/L; créatininémie = 81 μmol/L; glycémie = 5,1mmol/L; |
• | Protidémie = 64g/L dont 32g/L d’albumine; |
• | ASAT = 75 U/L (N < 40); ALAT = 55 U/L (N < 40); phosphatases alcalines = 75 U/L (N < 80); gamma-GT = 95 U/L (N < 37); bilirubine totale = 22μmol/L dont 5mmol/L de bilirubine conjuguée; |
• | taux de prothrombine = 48 %. |
Questions
A | Quelles sont vos mesures thérapeutiques? |
B | Comment surveillez-vous ce traitement? |
C | Quelles sont les contre-indications biologiques aux divers diurétiques chez un patient ayant une cirrhose? |
D | Au cours de l’hospitalisation, le patient développe une fièvre à 38,6 °C. Vous suspectez une infection du liquide d’ascite. Comment confirmer ce diagnostic? |
E | Quel traitement supplémentaire devez-vous alors ajouter? |
F | Devez-vous pratiquer une ponction d’ascite de contrôle? quand? avec quel objectif? |
Questions
A | Décrivez la préparation et la réalisation de la coloscopie. |
B | Pourquoi avoir exploré tout le côlon par coloscopie alors que le diagnostic de cancer sigmoïdien était fait? Si la coloscopie totale avait été impossible, quelle était l’alternative? |
C | Décrivez le bilan pré-opératoire. Justifiez vos réponses. |
D | Comment est appelé ce stade dans la classification TNM? Dans la classification AJCC? |
E | Un traitement complémentaire est-il nécessaire? Si oui le(s)quel(s)? |
F | Pourquoi et comment allez-vous surveiller la patiente? |
Questions
A | Quel diagnostic vous paraît le plus probable pour ce nodule du foie? Quels sont vos arguments? |
B | La surveillance faite jusqu’ici vous paraît-elle optimale? |
C | Quel(s) examen(s) proposez-vous pour confirmer votre diagnostic du nodule?Les résultats suivants vous sont apportés : scanner du foie : pas d’autre lésion suspecte; scanner du thorax : pas de lésion suspecte; endoscopie digestive haute : varices œsophagiennes de grade III avec signes rouges; scintigraphie osseuse normale.L’examen ORL avec biopsies révèle un cancer épidermoïde de l’amygdale palatine droite nécessitant idéalement pour le spécialiste un traitement par radiothérapie externe. |
D | Quel traitement vous semble le plus raisonnable en fonction de ces résultats?Trois ans après le traitement percutané du nodule hépatique, on note une récidive tumorale hépatique multifocale infiltrante associée à une thrombose portale tronculaire. |
E | Le malade a lu dans un journal un article sur la chimio-embolisation hépatique et vous demande qu’on lui propose ce traitement. Qu’en pensez-vous? Quelle est votre proposition thérapeutique si le score de Child est A6? |
Questions
A | Quels sont les éléments à rechercher par l’interrogatoire? |
B | Quels examens biologiques demandez-vous? |
C | Quelle est votre prise en charge?Après une amélioration transitoire des symptômes sous traitement, la patiente vous consulte à nouveau 3 semaines plus tard pour des vomissements «en jet» survenant surtout le matin. Elle se plaint aussi de céphalées frontales permanentes, d’installation progressive non soulagées par le paracétamol. |
D | Que redoutez-vous? |
E | Quel examen d’imagerie demandez-vous? |
F | Si votre hypothèse se confirme, quel traitement instaurez-vous? |
Questions
A | Demandez-vous des examens biologiques, si oui, lesquels?Les examens des selles montrent la présence d’hématies et leucocytes à l’examen direct avec présence de E. coli nombreux, de Staphylococcus aureus et Candida albicans. L’examen parasitologique des selles est négatif. |
B | Que conclure des résultats de la coproculture? |
C | Vous suspectez une maladie de Crohn. Quel examen morphologique demandez-vous et qu’en attendez-vous? |
D | Au terme de vos explorations, vous concluez à une maladie de Crohn colique. Quels sont les principes de prise en change? |
Questions
A | Quels éléments de l’observation ne sont pas en faveur d’une appendicite aiguë? |
B | Quel signe clinique absent de l’observation aurait dû faire évoquer le diagnostic d’acido-cétose? |
C | Quels sont les deux examens réalisables au lit du malade qui aurait permis de poser le diagnostic. |
D | Si un doute clinico-biologique persiste pour une appendicite, que faites-vous? |
Questions
A | Quel diagnostic nutritionnel portez-vous? Justifiez. |
B | Quelles sont les principales conséquences du vieillissement exposant à un risque nutritionnel? |
C | Quel diagnostic suspectez-vous en priorité? Justifiez. |
D | Quel examen réalisez-vous en première intention? |
E | Un geste chirurgical est décidé et une date fixée dans dix jours. Quel support nutritionnel mettez-vous en place?La veille de l’intervention, le poids de la patiente est stable à 53kg et l’albuminémie n’est pas modifiée par rapport à la valeur de départ. |
F | Reportez-vous l’intervention? Justifiez. |
G | Quel est le principal intérêt de la nutrition pré-opératoire? |
Questions
A | Quel est le mécanisme de l’amaigrissement chez ce patient? |
B | Quel traitement de sa maladie doit être entrepris? Pour quelle durée? |
C | Quelle perte d’énergie correspond à une stéatorrhée de 30grammes? |
D | Quels sont les risques principaux liés à une mauvaise observance de ce traitement?La sœur du patient, asymptomatique, vous consulte avec un bilan révélant un titre élevé d’IgA anti-transglutaminase tissulaire à 320. |
E | Que faites-vous pour elle? Justifiez. |
Questions
A | Quelles sont vos hypothèses diagnostiques? |
B | Comment expliquer le caractère sanglant de la diarrhée? |
C | Quel examen complémentaire à visée diagnostique devez-vous demander? |
D | Quels sont les résultats possibles de cet examen? |
E | Quel traitement préconisez-vous?Vous apprenez que la patiente a été traitée 10 jours auparavant pour une bronchite aiguë par de l’amoxicilline. |
F | Quelle(s) autre(s) hypothèse(s) diagnostique(s) faut-il envisager?10 jours plus tard la malade présente une insuffisance rénale sévère et un purpura. |
G | Quelle complication évoquez-vous? |
Questions
A | Quel diagnostic évoquez-vous en premier lieu? |
B | Quels sont les éléments de l’interrogatoire et de l’examen clinique qui vous orientent vers ce diagnostic? |
C | Quel examen morphologique va vous permettre de confirmer le diagnostic?Cet examen confirme la lésion du tube digestif que vous avez évoquée dans la première question. Cette atteinte n’est pas compliquée. |
D | Quelles décisions thérapeutiques prenez-vous alors?L’évolution est favorable avec sédation des douleurs et apyrexie en trois jours. |
E | Quelle est votre attitude thérapeutique pour le suivi ultérieur et la prévention d’une récidive? |
F | Pensez-vous qu’il faudrait répéter l’examen morphologique initial au bout de quelques semaines? Argumentez votre réponse. |
Questions
A | Quel est (quels sont) votre (vos) diagnostic(s)? Énumérez-en les arguments. |
B | Comment prenez-vous en charge la malade en urgence? |
C | Comment prenez-vous en charge cette patiente dans les jours et semaines suivants? Justifiez votre attitude. |
Questions
A | Vous évoquez une pancréatite aiguë. Citez les principaux éléments en faveur de ce diagnostic. |
B | Quels diagnostics différentiels devez-vous évoquer devant le tableau clinique? |
C | Quelle est la cause la plus probable de cette pancréatite aiguë dans ce cas? Justifiez. |
D | Quelle est la gravité probable de cette pancréatite aiguë? |
E | Quel(s) examen(s) complémentaire(s) réalisez-vous le jour même pour préciser la gravité de cette pancréatite? |
• | Fréquence cardiaque 110/min, température 37 °C, pression artérielle 90/60mmHg, poids : 74kg, taille : 1,75 m; | ||||||
• | ATCD : consommation d’alcool 110g/j et tabac 20 cigarettes/j depuis 20 ans; | ||||||
• | Imagerie :
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• | Biologie :
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Questions
A | Quel est le diagnostic le plus probable? Argumentez. |
B | Quel bilan étiologique vous semble dans l’immédiat utile et raisonnable? |
C | Sur quels éléments cliniques et biologiques pouvez-vous apprécier la gravité du tableau? Quels paramètres biologiques importants manquent pour apprécier la gravité?Une semaine après, un scanner avec injection est réalisé qui montre une glande pancréatique élargie mais bien rehaussée par le produit de contraste sans calcifications et deux coulées de nécrose prérénale gauche et dans l’arrière cavité des épiploons. |
D | Quel est l’apport de cet examen pour le diagnostic étiologique, le pronostic?Un mois plus tard, le patient vient vous revoir car il a des douleurs épigastriques permanentes et a maigri de 4kg. À l’examen, vous constatez une voussure douloureuse de l’épigastre. L’échographie abdominale montre une formation kystique de 8 cm en arrière de l’estomac, mais la glande pancréatique est normale sans dilatation du canal de Wirsung. |
E | Quelle complication présente ce patient et pourquoi? Quelle prise en charge proposez-vous? |
• | NFS : globules blancs 2 500; globules rouges 3 000 000; hémoglobine 10g/dL; hématocrite 0,30; VGM 110; plaquettes 250 000; |
• | CRP : 5mg/L; glycémie : 5mmol/L; |
• | sodium : 140mmol/L; potassium 4mmol/L; urée 4mmol/L; créatinémie 60 μmol/L; protidémie 58g/L; calcémie 1,8mmol/L; |
• | taux de prothrombine : 58 %. |
Questions
A | Quel syndrome clinico-biologique diagnostiquez-vous? Argumentez votre réponse. |
B | Quel est le mécanisme précis probable pour expliquer la baisse du taux de prothrombine? |
C | Quels examens biologiques additionnels prescrivez-vous et pourquoi? |
D | Quel diagnostic vous paraît le plus probable? Sur quels arguments? |
E | Comment allez-vous affirmer ce diagnostic? |
F | Quel traitement proposez-vous et dans quel but? Quelle sera la durée du traitement et quels seront ses critères d’efficacité? |
Questions
A | Quelles sont vos hypothèses diagnostiques? Justifiez votre réponse.Une endoscopie œsogastroduodénale révèle un ulcère bulbaire de 8mm de diamètre, peu profond, à bords réguliers. |
B | Où faut-il faire des biopsies? Quelles informations sont susceptibles d’apporter les biopsies? Qu’en déduirez-vous?Ce patient demande à être soulagé. Les questions suivantes portent toutes sur le traitement, son suivi, ses résultats possibles. |
C | Exposez vos objectifs thérapeutiques. |
D | Exposez les moyens thérapeutiques médicaux dont on dispose de façon générale pour traiter un ulcère bulbaire. Pour chacun précisez le mode d’action. |
E | Faites un choix concret de traitement immédiat pour ce patient et justifiez-le. |
F | Dans quelle mesure le résultat des biopsies peut-il influencer votre traitement? |
G | Comment s’assurer de l’efficacité de votre traitement (prendre en compte l’influence du résultat des biopsies)? |
H | Quel est le pronostic à long terme de cet ulcère? Comment prévenir une récidive? |
Questions
A | Quelle est votre première hypothèse diagnostique? Sur quels arguments? |
B | Quels sont les facteurs de prédisposition de cette maladie que vous connaissez? |
C | Quel examen devez-vous réaliser pour confirmer votre hypothèse diagnostique et qu’en attendez-vous? |
D | Quels sont les résultats attendus de l’examen anatomopathologique? |
E | Quel bilan morphologique réalisez-vous? Justifiez. |
F | Quels sont les principes du traitement?La sœur de Mme P, âgée de 47 ans, vient vous voir en consultation car elle est inquiète. |
G | Quelle est votre attitude pour la sœur de Mme P? |
Questions
A | Quelle est votre première hypothèse diagnostique? Sur quels arguments? |
B | Quel examen devez-vous réaliser pour confirmer votre hypothèse diagnostique et qu’en attendez-vous? |
C | Quels sont les résultats attendus de l’examen anatomopathologique chez M. X? |
D | Quel bilan morphologique réalisez-vous avant de prendre une décision thérapeutique? |
E | En dehors du bilan morphologique quel type d’évaluation devez-vous réaliser pour décider du type de prise en charge? Décrivez les éléments de cette évaluation. |
F | Avant de débuter le traitement, il se plaint d’une majoration importante de la dysphagie. Quelle décision thérapeutique d’action rapide pouvez-vous prendre pour éviter une perte de poids supplémentaire? |
G | Quels sont les principes du traitement en cas de volumineuse lésion avec atteinte ganglionnaire sans extension à distance? |
Questions
A | Quelle est votre hypothèse diagnostique? |
B | Quel(s) examen(s) complémentaire(s) est(sont) indispensable(s) chez cette patiente, justifiez votre réponse?La coloscopie est normale, hormis l’existence d’une diverticulose sigmoïdienne constituée de quelques diverticules d’allure banale et un polype pédiculé de 1cm retiré à l’anse et dont l’analyse histologique confirme qu’il s’agit d’un adénome sans lésion dysplasique totalement réséqué. |
C | Quel(s) traitement(s) proposez-vous pour améliorer la composante douloureuse? |
D | Quel(s) traitement(s) proposez-vous pour améliorer la constipation? |
E | Dans combien de temps devra-t-elle effectuer une coloscopie de contrôle?Grâce à votre traitement, l’évolution a été globalement satisfaisante avec une diminution de la douleur et une amélioration de la constipation. Un an plus tard, elle consulte en urgence pour une douleur aiguë de la fosse iliaque gauche apparue quelques heures auparavant associée à une fièvre à 39 °C sans frissons, sans arrêt des matières ni des gaz. L’examen clinique retrouve un empâtement douloureux de la fosse iliaque gauche sans défense. La NFS montre une hyperleucocytose (24 000 leucocytes/mL) à prédominance de polynucléaires neutrophiles (88 %) associée à un syndrome inflammatoire (CRP 74mg/mL). |
F | Quelle est votre hypothèse diagnostique? |
G | Quel(s) examen(s) complémentaire(s) demandez-vous pour la confirmer? |
H | Quel traitement proposez-vous? |
Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACirrhose5Signes d’hypertension portale et d’insuffisance hépatocellulaire2Une endoscopie permettra de vérifier que l’hémorragie digestive est en rapport avec des varices œsophagiennes3Une biopsie hépatique n’est pas nécessaire1BUne cirrhose virale C est le plus probable5Cirrhose alcoolique3Ou virale B2CExamen clinique (parotides, polynévrite, syndrome cérébelleux…)2Recherche d’une consommation excessive d’alcool3Ag HBs3Anticorps anti-VHC3DSaignement actif sur les varices2Clou plaquettaire1Signes rouges1Pas d’autres lésions1Grosse taille des varices1EInfections bactériennes3Prise d’AINS2FObservance du traitement par bêta-bloquants5Fréquence cardiaque entre 55 et 65/min ou diminution de 25 % de la fréquence cardiaque de repos2GTrouble du tonus musculaire : suspension brève, paroxystique, asynchrone, de fréquence lente2Encéphalopathie hépatique2Encéphalopathie métabolique en général2Évolution fluctuante : depuis la régression jusqu’au coma profond2Possibilité d’une réversibilité sans séquelles1HInfection3Insuffisance rénale fonctionnelle ou organique2Hémorragie digestive2Prise de médicament sédatif2Ordre de priorité sus cité2IPour chercher un foyer infectieux, examen clinique thoracique, cutané, urinaire etc.2ORL, stomatologique1Rx thorax2ECBU2Examen cytobactériologique de l’ascite2Hémocultures1NFS2Toucher rectal2Hémoglobine1Créatininémie1JInfection d’ascite5Taux de polynucléaires neutrophiles supérieur à 250/mm33KFoyer infectieux non cliniquement évident2ORL2Cavité buccale2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACirrhose5Secondaire à une consommation excessive d’alcool3Et peut-être au virus de l’hépatite C2Ascite, œdèmes2Insuffisance hépatique, érythrose palmaire2BBaisse des facteurs de coagulation = insuffisance hépatique2Ictère/élévation de la bilirubine = insuffisance hépatique et syndrome inflammatoire2Élévation des transaminases = liée à l’alcool et/ou au VHC2Élévation de la GGT = alcool2CAnticorps anti-VHC5DRecommander l’arrêt de l’alcool5Régime désodé5Diurétiques (spironolactone-furosémide)5EHernie ombilicale4Étranglée5Épiploon3FDécompensation de la cirrhose2Ascite post-opératoire1Fuite d’ascite par la cicatrice3GInfection du liquide d’ascite2Examen cytobactériologique du liquide d’ascite2Culture du liquide d’ascite2HTaux de polynucléaires neutrophiles dans l’ascite > 250/mm35Culture du liquide d’ascite positive3IAntibiothérapie, par voie IV3Bêta-lactamine ou quinolone2Administration d’albumine3JSyndrome hépatorénal4Remplissage vasculaire2Albumine4Terlipressine2KEncéphalopathie métabolique (hépatique)3Arrêt des sédatifs2Sonde nasogastrique1TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASymptomatologie évoquant une sténose digestive haute4En rapport avec un ulcère duodénal ou pylorique2Hypothèse d’un ulcère par ordre de fréquence1Compte tenu de l’âge1Et d’un épisode similaire 2 ans avant2BAntécédents généraux et digestifs2Troubles du transit2Prise de médicaments1Notamment d’aspirine3AINS3Tabagisme2Masse épigastrique2Adénopathies2Foie métastatique2Carcinose péritonéale1Date des dernières règles (dans l’hypothèse d’une grossesse)5Hémorragie digestive (hématémèse, méléna, rectorragies)2Signes de déshydratation5Baisse de la pression artérielle, hypotension orthostatique2Tachycardie2Pli cutané, sécheresse des muqueuses, soif1Capacité à se réhydrater par voie orale2Signes de dénutrition : fonte musculaire2Pourcentage de perte de poids corporel3Voussure épigastrique à distance du repas2Ondulations péristaltiques et clapotage à jeun2CDénutrition sévère3Indice de masse corporelle bas à 16,5kg/m23La dénutrition est prouvée lorsque l’IMC est < 18,5kg/m23Perte de poids rapide > 5 % en 1 mois3DCRP2NFS (hyperleucocytose, thrombocytose)2Recherche d’une anémie1Troubles hydro-électrolytiques induits par les vomissements, ionogramme sanguin (alcalose, hyponatrémie, hypochlorémie, hypokaliémie)2Créatininémie (insuffisance rénale)2Recherche de signes de dénutrition : hypoalbuminémie2Baisse du taux de pré-albumine1Bêta-HCG2EInsuffisance surrénalienne aiguë5En raison de l’arrêt d’une corticothérapie prolongée3Favorisée par le stress de l’intervention chirurgicale2Prévention par l’administration d’hydrocortisone jusqu’à disparition du risque d’insuffisance surrénale2Diagnostic par un dosage bas de la cortisolémie à 8h 001Test au synacthène3TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAPéritonite10Contracture généralisée3Perforation d’un ulcère3Gastrique ou duodénal1Début brutal au niveau épigastrique2Prise d’AINS1Pas de fièvre1Pas d’hyperleucocytose1BTDM abdominale5Recherche d’un pneumopéritoine5Recherche de signes en faveur d’une autre cause (diverticulite sigmoïdienne, pancréatite aiguë)1Si cet examen n’est pas disponible : ASP de face/radiographie des coupoles/radiographie de thorax en position debout à la recherche d’un pneumopéritoine1La réalisation d’une endoscopie est formellement contre-indiquée3CHospitalisation2En service de chirurgie2Mise en place d’une voie d’abord. Rééquilibration hydro-électrolytique3Hémocultures si fièvre1Antibiothérapie probabiliste par voie veineuse1Pose d’une sonde gastrique en aspiration3Traitement chirurgical en urgence5Au mieux par laparoscopie1Examen de la cavité abdominale1Prélèvements à visée bactériologique du liquide péritonéal2Suture de l’ulcère1Lavage abondant de la cavité péritonéale1Inhibiteurs de la pompe à protons par voie veineuse2Arrêt des AINS1Surveillance : des signes généraux : hémodynamique (pression artérielle, fréquence cardiaque)1Diurèse, fonction respiratoire, température1Débit de la sonde gastrique1Des signes locaux : disparition des signes péritonéaux1Reprise du transit1Biologie normalisation1Recherche de complications à court terme : lâchage de suture1Infection pulmonaire1Infection urinaire1Abcès intra-abdominal1Abcès de paroi1Phlébite des membres inférieurs et embolie pulmonaire1DPrise d’AINS ou d’aspirine3Diagnostic à l’interrogatoire2Infection gastrique à Helicobacter pylori3Examen anatomopathologique des biopsies gastriques1Sérologie est une alternative2Test respiratoire1ENon2Il n’y avait pas d’indication à un traitement de prévention des complications ulcéreuses liées aux AINS car son âge est < 65 ans1Pas d’antécédent de maladie ulcéreuse gastro-duodénale1Pas d’association AINS-antiagrégant plaquettaire, AINS-corticoïde ou AINS-anticoagulant1FReprise du traitement par AINS ou aspirine3Gastrinome (syndrome de Zollinger-Ellison)3Maladie de Crohn2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASyndrome de l’intestin irritable10Chronicité des symptômes sans altération de l’état général3Effet déclenchant du stress2Exploration endoscopique colique normale10BOui10Évolution de la symptomatologie - transit modifié - douleurs permanentes - asthénie inhabituelle5Anémie microcytaire5Thrombocytose3Syndrome inflammatoire3CBilan martial pour confirmer la sidéropénie10Coloscopie10DBilan biologique standard4Dosage de l’ACE5Scanner thoraco-abdomino-pelvien10EColoscopie de dépistage 10 ans avant la découverte de ce cancer chez leur apparenté, c’est-à-dire ici à 50 ans10TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesNotesALe malade doit être hospitalisé en urgence5Unité de soins continus52 voie(s) veineuse(s)5Groupe rhésus et recherche d’agglutinines irrégulières5Macromolécules en attendant3Culots globulaires5Oxygénothérapie5L’endoscopie digestive haute5Dès que le malade sera stabilisé sur le plan hémodynamique5L’administration préalable d’un bolus intraveineux d’érythromycine peut être utile pour débarrasser l’estomac des caillots qu’il contient2BSurveillance du pouls4De la pression artérielle4De l’hématocrite4De la couleur des selles3CTraitement endoscopique5Injections d’adrénaline2Thermocoagulation ou clip2L’ulcère devra être biopsié (au moins 8 biopsies sur les berges de l’ulcération)5Pour s’assurer qu’il s’agit d’un ulcère bénin2Les biopsies doivent être faites à distance de l’accident hémorragique3DÉchec du traitement endoscopique5Récidive hémorragique massive avec collapsus2Persistance d’une hémorragie sous traitement médical et après nouvelle tentative d’hémostase endoscopique2EOui3Le malade aurait dû bénéficier d’une gastro-protection par inhibiteur de la pompe à protons à dose standard3Car il avait 2 facteurs de risque de complication gastro-duodénale sous AINS et antiagrégant2Âge > 65 ans2Antécédent ulcéreux certain2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsADysphagie fonctionnelle - trouble moteur de l’œsophage10Achalasie5Maladie des spasmes diffus de l’œsophage3BEndoscopie digestive haute10Précédée d’un lavage de l’œsophage3Manométrie œsophagienne10CChoix thérapeutique3Dilatation du sphincter œsophagien inférieur9Pneumatique3Chirurgie9Cardiomyotomie de Heller3DComplications infectieuses pulmonaires10Par inhalation10Dénutrition10Condition pré-cancéreuse favorisant la survenue d’un cancer épidermoïde de l’œsophage2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsATraitement sans exploration10Inhibiteur de la pompe à protons10À demi-dose en l’absence de données endoscopiques3Un comprimé le matin avant le petit déjeuner pendant 4 semaines2Conseils diététiques pour perdre du poids5BRGO5Réflexe œsophago-vagal1Micro-inhalation2CVérification de la compliance5Vérifier qu’il s’agit bien d’un RGO3Endoscopie haute10Recherche de lésions d’œsophagite3Complétée en cas d’endoscopie normale par une phmétrie œsophagienne sur 24 heures5DEndobrachyœsophage5Inhibiteurs de la pompe à protons à dose standard au long cours4Risque d’apparition de lésions dysplasiques puis d’un adénocarcinome4Surveillance endoscopique de la métaplasie intestinale4Biopsies4ESténose organique de l’œsophage2Adénocarcinome sur la muqueuse de Barrett5Sténose peptique de l’œsophage5Carcinome épidermoïde1TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASyndrome de l’intestin irritable10BColoscopie10CConstipation distale10Difficultés d’exonération avec efforts de poussée5Présence de matières dans le rectum5DRectoscopie avec effort de poussée pour rechercher une procidence muqueuse obstruant le canal anal10Manométrie ano-rectale5Rectographie dynamique5Colpo-cysto-défécographie5IRM pelvienne dynamique10EAntispasmodiques15Argiles5En cas d’échec de ce traitement, le recours à des antidépresseurs à faible dose5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASyndrome métabolique10BStéatose et/ou stéatohépatite non alcoolique10Prise médicamenteuse2Interrogatoire1Hépatite chronique C5Anticorps anti-VHC5Hépatite chronique B2Ag HBs2Hémochromatose1Ferritinémie, coefficient de saturation de la transferrine2CStéatohépatite non alcoolique (NASH)10DObésité3Diabète3Dyslipidémie3EGlycémie3Hémoglobine glycosylée5Créatinine et ionogramme sanguin2Protéinurie2Électrocardiogramme2Fond d’œil2FRéduction pondérale5Activité physique régulière2Régime hypocalorique2Traitement de l’hyperlipidémie2Surveillance2Périmètre abdominal1Poids3Tension artérielle2Glycémie2Bilan lipidique2Transaminases2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACarcinome épidermoïde de l’œsophage15BEndoscopie digestive haute15CScanner thoraco-abdominal10Écho-endoscopie3Scintigraphie au FDG (Pet-scan) la recherchent les métastases3Examen ORL5Stomatologique3Endoscopie bronchique5DBilan hépatique2Taux de prothrombine et facteur V5Créatininémie3ECG3Explorations fonctionnelles respiratoires5ERadio-chimiothérapie5Avec correction de la dénutrition5FDénutrition doit être corrigée5Apports protéiques5Suppléments diététiques3TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsADiverticulose colique (non compliquée)10BTroubles fonctionnels intestinaux ou syndrome de l’intestin irritable10Douleur abdominale non systématisée, constipation, ballonnement abdominal5Amélioration lors des périodes de repos5Absence d’altération de l’état général5Examen clinique sensibilité en FIG5Sans autres anomalies5CÂge > 50 ans5Antécédent familial de cancer colique10Rectorragies10DTSHus5Fréquence de la dysthyroïdie3Tendance à la constipation2ENon5FUn antispasmodique au choix10Un laxatif au choix5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAHospitalisation en médecine2Arrêt de l’alcool et du tabac3Prévention d’une encéphalopathie carentielle par vitamine B12Repos au lit3Régime désodé (modéré ≈ 3g/j) normocalorique3Traitement diurétique par voie orale :- antialdostérone, spironolactone3- éventuellement associée à un diurétique de l’anse, furosémide3Ponction d’ascite à visée diagnostique et évacuatrice3Prévention primaire de l’infection du liquide d’ascite3BSurveillance de l’efficacité :2Clinique : poids, diurèse, périmètre abdominal3Biologie : natriurèse/24 h2Surveillance de la tolérance2Pression artérielle, fréquence cardiaque, examen cutané au niveau de la ponction2Biologique : Na, K, urée, créatinine5Recherche d’une encéphalopathie2CNa < 125 à 130mmol/L3Créatinine > 100 à 120 μmol/L3K > 5,5 pour la spironolactone ou < 3,5 pour le furosémide3DPar l’analyse cytologique et bactériologique du liquide d’ascite qui montre au moins 250 poylnucléaires neutrophiles/mm35Culture n’est qu’inconstamment positive5EC’est une urgence thérapeutique5Une antibiothérapie probabiliste doit être débutée immédiatement, sans attendre les résultats de la culture du liquide d’ascite et sera adaptée, si besoin, aux résultats de l’antibiogramme5On choisira en l’absence d’allergie :2Céfotaxime IV 1g × 4/j3Ou ofloxacine 200mg × 2 per os ou IV (à éviter si le patient avait de la noroxine en prévention primaire)3Ou amoxicilline + acide clavulanique : g – 0,125 g × 3/j avec un relais oral possible au bout de 24 heures3Durée : 5 à 7 jours2Perfusions d’albumine humaine 20 %31,5 g/kg le premier jour puis 1g/kg le troisième jour2FOui, 48 h après le début du traitement5Le nombre de polynucléaires neutrophiles devra avoir diminué d’au moins 25 %5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAIl faut faire une coloscopie totale7Préparée par régime sans résidus1Ingestion de 3 à 4 L de solution de PEG3En fin de préparation, les évaluations doivent être claires3Contre-indication : syndrome subocclusif. On prescrit alors des lavements2L’examen devant être optimal et complet, on le réalise le plus souvent sous analgésie ou anesthésie2Consultation d’anesthésie à l’avance et au plus un mois avant l’examen1BTumeurs synchrones5Lavement aux hydrosolubles2Ou un coloscanner3CÉchographie abdominale2Cliché thoracique F + P5Scanner thoraco-abdominopelvien5Échographie hépatique per-opératoire3ACE n’est pas indispensable2Mais il a une valeur pronostique et de suivi1DIl s’agit d’un cancer T4N13C’est à dire de stade III3- T4a (dépassant la séreuse sans envahir les organes de voisinage)1- N1b (2 à 3 ganglions envahis)1C’est-à-dire de stade III B1EUne chimiothérapie adjuvante est nécessaire10En l’absence de contre-indication3-5 FU + acide folinique + oxaliplatine (Folfox 4) pendant 6 mois3FRecherche de métastase viscérales3Récidive loco-régionale (carcinose péritonéale surtout)2Récidive anastomotique1Cancer métachrone1Adénome métachrone1Surveillance clinico-radiologique : interrogatoire, examen physique3Cliché thoracique3Échographie hépatique ou scanner TAP3Tous les 3–4 mois pendant 2 ans3Tous les 6 mois de la 3e à la 5e année et annuellement ensuite3Surveillance de l’ACE optionnelle1Coloscopie totale dans les 6 mois suivant l’intervention si le premier examen incomplet ou de mauvaise qualité2Nouveau contrôle à 1 an puis tous les 3 à 5 ans en fonction de l’existence de polyadénomes ou non sur les examens2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACarcinome hépatocellulaire20Âge5Cirrhose mixte5Nodule hypoéchogène10Récemment apparu10BUn seul examen nécessaire (IRM ou TDM)5Montrant un aspect hypervasculaire typique10CNon5Échographie et AFP tous les 6 mois10DRadiofréquence10ELa CE est contre-indiquée en raison de la thrombose portale5Sorafenib5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAHoraire des vomissements5Signes associés (douleurs, troubles du transit…)5Prise de médicaments5Signes de déshydratation (poids)5Dénutrition (perte de poids)5BIonogramme sanguin5Créatininémie5Urée sanguine5Numération globulaire5CHospitalisation3Réhydratation5Renutrition si besoin2Anti-émétiques5Type aprépitant (Emend®)5DUne hypertension intracrânienne10En rapport avec des métastases cérébrales5EUne tomodensitométrie cérébrale10FUne corticothérapie intraveineuse10TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAOui5Coproculture5Examen parasitologique des selles5Au mieux 33NFS2CRP5Ionogramme sanguin3Urée, créatinine3BLes micro-organismes présents à l’examen direct ne sont pas pathogènes et n’indiquent pas de traitement spécifique5La présence d’hématies et/ou de leucocytes nombreux à l’examen direct des selles témoigne de l’existence d’une colite3Et indique les examens endoscopiques3CUne iléo-coloscopie5Avec biopsies en zones lésées5Et biopsies étagées en zone apparemment saine3Les lésions endoscopiques évocatrices de maladie de Crohn sont des ulcérations3Aphtoïdes1Intervalles de muqueuse saine3Pertes de substance muqueuse, distorsions glandulaires1Infiltration lympho-plasmocytaire du chorion muqueux2Voire transmurale1Granulomes épithélioïdes et gigantocellulaires5Sans nécrose caséeuse2Quasi pathognomoniques2Mais présents seulement dans 20 à 30 %2DCorticoïdes5Sevrage tabagique3ALD 1003Pendant la poussée (diarrhée) : règles hygiéno-diététiques2Éviction du lait (lactose)2Régime sans résidu5Hydratation1Après la poussée : pas de régime spécifique2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASyndrome polyuro-polydypsique10La dyspnée de Kussmaul5Hyperglycémie20Sérum lactescent5BHaleine cétonique20CGlycémie capillaire10Bandelette urinaire : cétonurie10DÉchographie abdominale10Ou TDM10TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsADénutrition10IMC normal5Mais perte de plus de 10 % du poids en 6 mois10BPathologies bucco-dentaires1Anorexie3Augmentation du seuil du goût2Hyposécrétion gastrique avec risque de colonisation bactérienne chronique du grêle1Constipation3CCancer de l’œsophage/adénocarcinome de l’œsophage5Dysphagie progressive aux solides5Avec amaigrissement5Adénocarcinome : absence de terrain favorisant le carcinome épidermoïde3Antécédents de surpoids2DEndoscopie œsogastroduodénale10Avec biopsies3EArrêt du régime hyposodé3Alimentation liquide ou semi-liquide5Compléments nutritionnels oraux5Immunonutrition2FNon3L’intervention pour cancer est une urgence différée1La nutrition pré-opératoire diminue l’incidence des complications post-opératoires3Sans forcément conduire à un gain de poids2La demi-vie de l’albumine la rend insensible à une intervention de dix jours3GDiminution de la morbi-mortalité5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAMalabsorption intestinale (entérocytaire)10BRégime sans gluten20À vie20C30×9 = 270 kcal10DRechute3Infertilité2Ostéoporose3Maladies auto-immunes3Cancers épithéliaux2Lymphomes2FEndoscopie œsogastroduodénale10Avec biopsies duodénales multiples5Pas d’indication du régime sans gluten en l’absence de preuve histologique10TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAColite origine bactérienne10Bactéries entéro-invasives51re poussée d’une colite inflammatoire5Type rectocolite hémorragique3Maladie de Crohn1Colite ischémique3Ischémie peu probable compte tenu de l’âge jeune de la patiente3BPrésence d’ulcérations5CUne coproculture doit être systématique en cas de diarrhée glairo-sanglante fébrile10DSalmonella5Shigella5Campylobacter jejuni5Yersinia enterocolitica5E. coli entérohémorragiques5EMesure d’hygiène générale5Réhydratation par voie orale5En général fluoroquinolone5FUne colite aux antibiotiques5Clostridium difficile2GSyndrome hémolytique et urémique8TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASigmoïdite diverticulaire20BAssociation douleur FIG + fièvre5Douleur au TR3Traitement par AINS5CTomodensitométrie abdomino-pelvienne en urgence10DTraitement ambulatoire5Avec surveillance par le médecin traitant dans 48h5Régime sans résidus5Antibiothérapie5Par voie orale5Pendant une durée prévisionnelle de 7 à 10 jours5Traitement antalgique3Arrêt du traitement par AINS3EArrêt définitif des AINS5Prévenir la patiente du risque de récidive2FCompte-tenu qu’il s’agit d’une première poussée3Non compliquée3Et que la résolution a été rapide3Il n’est pas recommandé de pratiquer une nouvelle TDM5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAAngiocholite10Par lithiase de la voie biliaire principale5Chronologie douleur fièvre ictère5Femme de 70 ans2En surpoids2Hyperleucocytose à polynucléaires neutrophiles3CRP élevée, fibrinogène élevé2L’ictère de type cholestatique3Lithiase vésiculaire fréquente à cet âge1Dont on ne peut pas tirer argument en faveur du diagnostic de lithiase de la voie biliaire principale1Le cholédoque est modérément dilaté compatible avec un obstacle2Il n’y a pas de critère de gravité : pas de choc septique, fonction rénale correcte1La glycémie est élevée3BHospitalisation en médecine2Pose d’une voie veineuse périphérique pour hydratation2Patiente à jeun2Antibiothérapie probabiliste2Amoxicilline-acide clavulanique + gentamicine ou céfoxitime ou cefoxitime ou ceftriaxone + metronidazole2Surveillance de la pression artérielle, de la fréquence cardiaque, de la température2De la glycémie3Prescription d’insuline transitoire si nécessaire3Cholangio-IRM3Si l’accessibilité à l’IRM n’est pas possible en urgence2Le traitement de choix est ici l’opacification des voies biliaires par voie endoscopique (CPRE)2Sphinctérotomie2Extraction du(des) calcul(s)2Après la sphinctérotomie endoscopique, la surveillance porte sur la survenue de complications possibles dans 5 %2Pancréatite aiguë1L’angiocholite1Hémorragie1Perforation1La chirurgie est une alternative possible : extraction du calcul et cholecystectomie3CAntibiothérapie (amoxicilline-acide clavulanique)3Doit être poursuivie une semaine après le geste1Afin d’éviter la cholecystite1Cholecystectomie chirurgicale5Sous cœlioscopie2Afin de la mettre à l’abri des complications de la lithiase vésiculaire : cholecystite3Angiocholite1Pancréatite aiguë1La cholecystectomie doit être réalisée le plus tôt possible2Si possible dans le même temps hospitalier3TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsADouleur épigastrique violente5Transfixiante10Avec vomissements3Iléus reflexe3Défense épigastrique3Lipase > 3 N7BUlcère gastroduodénal perforé2Infactus du grêle2Infactus du myocarde2CBiliaire10Femme âgée1Obèse2Multipare1Anomalie du bilan hépatique5Lithiase vésiculaire2Dilatation de la voie biliaire3DPancréatite aiguë grave :10Signes de choc3Tachypnée3Oligoanurie3Hyperleucocytose3Insuffisance rénale3EPaO22Glycémie2Calcémie2LDH2Pas de scanner2Car trop tôt (< 48 heures)2Insuffisance rénale2TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAPoussée aiguë grave inaugurale de pancréatite chronique car :10Douleur typique5Hyperlipasémie3En faveur de la pancréatite chronique alcoolique : homme338 ans2Alcoolotabagique2Absence d’ictère2Ou de lithiase vésiculaire2Absence d’occlusion2Sévère : tachycardie3HypoTA3BDosage des triglycérides afin d’éliminer une hypertriglycéridémie associée (type IV)3Transaminases, GGT, PAL, bilirubine3Anomalie du bilan hépatique pouvant témoigner d’une migration lithiasique3CPancréatite aiguë grave5Signes de choc débutant3Atteinte respiratoire3Tachycardie avec hypotension3Polypnée2Hyperglycémie3Insuffisance rénale3Score de Glasgow : présence de plus de 3 critères de gravité :3PaO2 manque3Calcémie manque3LDH manque2DL’absence de calcification au début de la maladie n’élimine pas une pancréatite chronique; absence de tumeur solide ou de tumeur kystique visible2Apport pronostique : pancréatite grave en raison de la présence de 2 coulées de nécrose (stade E Ranson)1Par contre, la glande pancréatique est bien rehaussée sans nécrose intrapancréatique, ce qui améliore le pronostic1L’existence de coulées de nécrose fait courir le risque de l’évolution vers un pseudokyste1EPseudokyste pancréatique de l’arrière cavité des épiploons5Douleur permanente typique1Voussure épigastrique1Échographie1Dérivation kystogastrique3Sous écho-endoscopie1En raison des symptômes et du risque de complication spontanée1Infection1Rupture1Compression1TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsASyndrome de malabsorption10Fatigue1Amaigrissement1Tétanie2Diarrhée1Anémie2Macrocytose2Hypoprotidémie2Hypocalcémie2Baisse du taux de prothrombine2BMalabsorption de la vitamine K5Liée à une malabsorption des graisses1CFolates2Vitamine B122Car macrocytose2Ferritinémie2Pour s’assurer de l’absence de carence en fer masquée par la macrocytose1Électrophorèse des protides1Phosphatases alcalines1Phosphorémie1Calciurie, phosphaturie1Dosage de la vitamine D3Pour s’assurer de l’absence d’ostéomalacie1Co-facteur du taux de prothrombine2Pour vérifier la carence en vitamine K2Transaminases1TSH pour rechercher une pathologie auto immune associée1Anticorps anti-transglutaminase3Anti-endomysium3De type IgA (à ce stade ou à question E)3DMaladie cœliaque10Fréquence1Ancienneté des troubles digestifs1Malabsorption globale2Positivité des anticorps si demandés à la question C ou à demander maintenant)3EBiopsies duodénales5FRégime sans gluten5À vie3Dans le but de supprimer les carences2Et les troubles digestifs1Prévenir un éventuel lymphome digestif2Normalisation de l’état clinique1Disparition des anomalies biologiques1TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsAUn ulcère du bulbe3Un ulcère gastrique3Une dyspepsie4La prise récente d’un anti-inflammatoire2Et la sémiologie douloureuse3BBiopsies antre5Et fundus3(notion de «gastrite» il y a cinq ans)5Et la poussée a été favorisée par la prise d’AINS1Si les biopsies ne montrent pas une gastrite à Helicobacter pylori - B1 est le fait de la prise d’AINS5CCalmer les douleurs2Cicatriser l’ulcère5Prévenir les récidives5DInhibiteurs de la pompe à protons2Anti-histaminiques H22Les antibiotiques pour éradiquer Helicobacter pylori2Arrêt de l’anti-inflammatoire2L’arrêt du tabac est souhaitable1Chirurgie : non adaptée ici, uniquement en cas de complicationEUn inhibiteur de la pompe à protons2À simple dose2Pas d’antibiotique tant qu’on n’a pas la preuve de l’infection par HP2Arrêt de l’anti-inflammatoire2Arrêt du tabac2FLa mise en évidence d’HP conduirait à une antibiothérapie2Associant amoxicilline2Et un autre antibiotique (clarythromacine, metronidazole)2À doubler la posologie de l’IPP2À faire le traitement pendant une semaine seulement2Si le patient est asymptomatique à la fin de la semaine de traitement, sinon il faut poursuivre 4 à 6 semaines les IPPGDans tous les cas (présence ou non d’HP) l’efficacité du traitement est jugée sur :- la disparition des douleurs2- et l’absence de survenue de complication1- un contrôle endoscopique est inutile2Si gastrite à HP une vérification de l’éradication est souhaitablePar le test respiratoire à l’urée marquée5HPas de récidive et bon pronostic si :Éradication d’HP17Pas de prise d’AINS ou prise de gastro-protection5Sinon :- risque de complications- hémorragie5- perforation5- sténoseTOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACancer de l’estomac5Douleurs épigastriques chroniques1Dyspepsie avec sensation de satiété précoce1Altération de l’asthénie1Amaigrissement1ATCD de familiaux de cancer de l’estomac3BHelicobacter pylori5Facteurs génétiques :2Dans les adénocarcinomes gastriques diffus héréditaires : mutation germinale du gène CDH1 (protéine E-Cadherine)1Apparentés au premier degré d’un cancer de l’estomac1Syndrome HNPCC1Polypose adénomateuse familiale1Tabagisme1Consommation élevée de sel1Faible consommation de fruits et légumes2Niveau socio-économique bas1Maladie de Biermer1Survenue adénocarcinome à distance sur moignon gastrique1Survenue sur ulcère gastrique1CEndoscopie œsogastroduodénale5Avec biopsies multiples (5 à 8) de la lésion gastrique pour examen anatomo-pathologique5Précise le siège de la lésion par rapport au cardia et au pylore2L’aspect macroscopique (végétant, ulcéré, infiltrant)2Caractère sténosant2Hémorragique de la lésion2Type histologique après analyse des biopsies5DAdénocarcinome gastrique5Cas le plus fréquent : type intestinal glandulaire (qui prédomine chez les sujets âgés)1Type diffus à prédominance de cellules indépendantes mucosécrétante («en bague à chaton») dont les linites2Possible ici car sujet plus jeune1Et avec satiété précoce qui peut évoquer une infiltration diffuse1Avec à l’endoscopie gros plis rigides et une insufflation difficile à obtenir2ETomodensitométrie thoraco-abdomino-pelvienne4Pour évaluer la résecabilité2Et rechercher des métastases2Écho-endoscopie (optionnel)1Pour évaluer l’extension pariétale et ganglionnaire1FSi maladie localisée chirurgie5Encadrée par chimiothérapie à base de 5FU, cisplatine et épirubicine2Si la chirurgie a eu lieu d’emblée, discuter une radiochimiothérapie adjuvante à base de 5FU en cas de curage ganglionnaire insuffisant et ou d’atteinte ganglionnaire sur l’analyse de la pièce opératoire1Si maladie métastatique chimiothérapie palliative1GRéalisation d’une endoscopie œsogastroduodénale5Avec recherche d’Helicobacter pylori5Et traitement antibiotique si présence de la bactérie avec contrôle de l’éradication5TOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsACancer de l’œsophage5Dysphagie d’installation progressive3Prédominant sur les solides2Altération de l’état général avec asthénie et amaigrissement2Sexe masculin1Consommation chronique de tabac et d’alcool2BEndoscopie œsogastroduodénale5Elle met en évidence la tumeur2Permet des biopsies3Mesure les distances par rapport aux arcades dentaires des pôles inférieur et supérieur de la tumeur et la position de la tumeur par rapport au cardia2Ainsi que l’existence d’un endobrachyœsophage2Apprécie le caractère sténosant de la lésion2Une coloration vitale (lugol, bleu de Toluidine) est recommandée pour mieux apprécier les limites tumorales ou pour rechercher une deuxième localisation œsophagienne2CCarcinome épidermoïde de l’œsophage :5Histologie plus fréquente qu’adénocarcinome2Favorisé par tabac et alcool5Pas de notion de reflux gastro-œsophagien2DTomodensitométrie thoraco-abdominale5Fibroscopie bronchique3Examen ORL3Pour rechercher une paralysie récurrentielle2Et/ou un cancer ORL associé1TDM cérébral uniquement en cas de signe d’appel1Scintigraphie osseuse uniquement en cas de signe d’appel1En l’absence de métastase ou d’envahissement trachéal peuvent être également réalisées :écho-endoscopie œsophagienne en l’absence de sténose infranchissable2tomographie par émission de position au fluorodeoxyglucose2EÉvaluation des comorbidités et de l’opérabilité5Signes d’insuffisance hépato-cellulaire et ou d’hypertension portale en faveur d’une cirrhose2Recherche d’une dyspnée2Palpation des pouls et recherche de souffle1Bilan nutritionnel : IMC < 18,5 m/kg2 ou recherche d’une perte pondérale de plus de 10 %2Protidémie, albumine sérique2NFS, plaquettes1Bilan hépatique (TP, ASAT, ALAT, phosphatases alcalines, GGT, bilirubine totale)1Créatinémie1ECG2EFR avec mesure du volume expiratoire maximal par seconde (VEMS), gazométrie artérielle4FMise en place d’une prothèse œsophagienne5GRadiochimiothérapie concomitante avec 5-fluorouracile et cisplatine sans dépasser 50,4 grays2Soit radiochimiothérapie exclusive2Soit suivie (radio-chimiothérapie néo-adjuvante) d’une chirurgie programmée1Une chirurgie de rattrapage peut également être réalisée en cas de persistance tumorale prouvée après radio-chimiothérapie ou de récidive tumorale précoce après une réponse apparemment complèteTOTAL100
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Grille d’évaluationQuestionsRéponsesPointsATroubles fonctionnels intestinaux ou syndrome de l’intestin irritable (au choix)10BColoscopie10CAntispasmodique10DLaxatif au choix : fibre ou laxatif osmotique salé (polyéthylène glycol) ou laxatif osmotique sucré (lactulose, sorbitol)10E5 ans10FDiverticulite sigmoïdienne ou sigmoïdite diverticulaire10GScanner abdominal10Avec injection10Et opacification colique5HAntibiothérapie double5Amoxycilline + acide clavulanique5Associé à une quinolone ou métronidazole5TOTAL100
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