Suscribirse

Genetics of human epilepsies: Continuing progress - 24/12/17

Génétique des épilepsies humaines : des avancées permanentes

Doi : 10.1016/j.lpm.2017.10.020 
Pierre Szepetowski
 Mediterranean Institute of Neurobiology (INMED), Inserm U901, parc scientifique de Luminy, BP 13, 13273 Marseille cedex 09, France 

Bienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
Artículo gratuito.

Conéctese para beneficiarse!

En prensa. Pruebas corregidas por el autor. Disponible en línea desde el Sunday 24 December 2017
This article has been published in an issue click here to access

Keypoints

Numerous epilepsy genes have been identified in the last years, mostly in the (rare) monogenic forms and thanks to the increased availability and the decreased cost of next-generation sequencing approaches.

Besides the somehow expected group of epilepsy genes encoding various ion channel subunits (e.g. sodium or potassium channel subunits, or GABA receptors, or glutamate-gated NMDA receptors), more diversity has emerged recently, with novel epilepsy genes encoding proteins playing a wide range of physiological roles at the cellular and molecular levels, such as synaptic proteins, members of the mTOR pathway, or proteins involved in chromatin remodeling.

The overall picture is somehow complicated: one given epilepsy gene can be associated with more than one epileptic phenotype, and with variable degrees of severity, from the benign to the severe forms (e.g. epileptic encephalopathies), and with various comorbid conditions such as migraine or autism spectrum of disorders.

Conversely, one given epileptic syndrome may be associated with different genes, some of which have obvious links with each other (e.g. encoding different subunits of the same receptor) while other ones have no clear relationships.

Also genomic copy number variations have been detected, some of which, albeit rare, may confer high risk to epilepsy.

Whereas translation from gene identification to targeted medicine still remains challenging, progress in epilepsy genetics is currently revolutionizing genetic-based diagnosis and genetic counseling.

Epilepsy gene identification also represents a key entry point to start in deciphering the underlying pathophysiological mechanisms via the design and the study of the most pertinent cellular and animal models - which may in turn provide proofs-of-principle for future applications in human epilepsies.

El texto completo de este artículo está disponible en PDF.

Points essentiels

De nombreux gènes d’épilepsie ont été identifiés ces dernières années, principalement dans les (rares) formes monogéniques, ceci grâce à l’émergence des approches de séquençage de nouvelle génération et à la baisse exponentielle de leur coût.

Au-delà du groupe des gènes codant, comme cela était prévisible, pour divers types de sous-unités de canaux ioniques (par exemple canaux sodium ou potassium, ou encore récepteurs GABA, ou récepteurs au glutamate de type NMDA), une plus grande diversité fonctionnelle est apparue récemment, de nouveaux gènes d’épilepsie pouvant coder pour des protéines jouant des rôles diversifiés aux niveaux cellulaire et moléculaire, telles que protéines synaptiques, membres de la voie mTOR, ou encore protéines impliquées dans le remodelage chromatinien.

L’image globale de la génétique des épilepsies est compliquée : ainsi, un gène d’épilepsie peut-il être associé à plus d’un phénotype épileptique, ou à une sévérité de degré variable (allant depuis des formes bénignes jusqu’à des formes sévères d’encéphalopathies épileptiques), ou encore à des conditions comorbides telles que migraine ou troubles du spectre autistique.

Inversement, un syndrome épileptique donné peut être associé à plusieurs gènes différents, ayant ou non des liens fonctionnels plus ou moins évidents entre eux.

De plus, des anomalies du nombre de copies du génome ont été détectées, qui, bien que rares, peuvent conférer un risque important de présenter une épilepsie.

Bien que le transfert depuis l’identification d’un gène donné vers une médecine personnalisée reste un défi à relever, les progrès récents bouleversent d’ores et déjà le diagnostic et le conseil génétiques dans un certain nombre de cas.

De plus, cette identification représente un point-clé vers la compréhension des mécanismes physiopathologiques sous-jacents, à travers la génération et l’étude des modèles cellulaires et animaux pertinents – eux-mêmes devant conduire à leur tour à l’obtention de preuves de principe pour de futures applications en épileptologie humaine.

El texto completo de este artículo está disponible en PDF.

Esquema


© 2017  Elsevier Masson SAS. Reservados todos los derechos.
Añadir a mi biblioteca Eliminar de mi biblioteca Imprimir
Exportación

    Exportación citas

  • Fichero

  • Contenido

Bienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.

Mi cuenta


Declaración CNIL

EM-CONSULTE.COM se declara a la CNIL, la declaración N º 1286925.

En virtud de la Ley N º 78-17 del 6 de enero de 1978, relativa a las computadoras, archivos y libertades, usted tiene el derecho de oposición (art.26 de la ley), el acceso (art.34 a 38 Ley), y correcta (artículo 36 de la ley) los datos que le conciernen. Por lo tanto, usted puede pedir que se corrija, complementado, clarificado, actualizado o suprimido información sobre usted que son inexactos, incompletos, engañosos, obsoletos o cuya recogida o de conservación o uso está prohibido.
La información personal sobre los visitantes de nuestro sitio, incluyendo su identidad, son confidenciales.
El jefe del sitio en el honor se compromete a respetar la confidencialidad de los requisitos legales aplicables en Francia y no de revelar dicha información a terceros.


Todo el contenido en este sitio: Copyright © 2024 Elsevier, sus licenciantes y colaboradores. Se reservan todos los derechos, incluidos los de minería de texto y datos, entrenamiento de IA y tecnologías similares. Para todo el contenido de acceso abierto, se aplican los términos de licencia de Creative Commons.