Diagnostic orthodontique - 01/01/96
Paris VII, 32, boulevard de Courcelles, 75017 Paris France
Resumen |
La plupart des patients consultent pour des raisons esthétiques. Tous les praticiens sont devenus conscients de l'environnement parodontal, musculaire et articulaire de la denture. Ils disposent des ressources quasi illimitées offertes par la conjonction de techniques orthodontiques, orthopédiques et chirurgicales diverses et performantes. Si, comme le croit actuellement Gugino [in 13 ], 75 % du succès d'un traitement orthodontique repose sur la qualité du diagnostic, une large part de leur temps doit être consacrée à l'étude des cas. L'idée d'une telle primauté n'est pas nouvelle puisque Izard [9] écrit : " A l'époque, déjà lointaine, où l'on se contentait de traiter, et par des moyens de fortune, les malpositions des incisives, il n'était pas nécessaire d'étudier longuement le cas à traiter. A mesure que progressa l'orthodontie, le diagnostic dut se préciser davantage... Son importance est capitale ; il est bien évident que sans un diagnostic complet et précis, il ne saurait exister de bonne thérapeutique ".
Qu'est donc devenu le diagnostic orthodontique ?
Il a connu une évolution profonde, tout en conservant une base traditionnelle incontournable.
Après avoir réfléchi à sa nature, il est intéressant d'en parcourir les principales étapes, d'évoquer les domaines où il s'applique, les moyens dont il dispose pour reconnaître et identifier les anomalies et les buts qu'on peut lui assigner. Quels sont les référentiels utilisables ? Existe-t-il un langage particulier pour formaliser les conclusions ? Qu'appelle-t-on aujourd'hui " un bon diagnostic " ?
Esquema
Bienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
El acceso al texto completo de este artículo requiere una suscripción.
¿Ya suscrito a este tratado ?