Marsupialisation intrapéritonéale des lymphocèles pelviennes par coelioscopie - 01/01/98
Clinique d'urologie (professeur P Houdelette), hôpital d'instruction des Armées du Val-de-Grâce, 74, boulevard de Port-Royal, 75230 Paris cedex 05 France
Service d'urologie (professeur A Le Duc), hôpital Saint-Louis, 1, avenue Claude-Vellefaux, 75475 Paris cedex 10 France
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Les lymphocèles pelviennes peuvent survenir chez 0,6 à 18 % des patients après transplantation rénale et chez 0,5 à 10 % des patients après un curage ganglionnaire dans le cadre d'une prostatectomie radicale. Les lymphocèles symptomatiques peuvent être traitées initialement par une ponction percutanée associée ou non à l'instillation d'un produit sclérosant tel qu'une tétracycline ou la polyvidone iodée. Le taux de récidive est cependant important. Les lymphocèles non infectées ont été traitées depuis des années par marsupialisation intrapéritonéale par voie ouverte, associée ou non à une omentoplastie. Depuis la première publication d'une marsupialisation par voie coelioscopique par McCullough en 1991, de nombreux auteurs ont reproduit cette technique qui paraît représenter actuellement la méthode de choix devant une lymphocèle pelvienne symptomatique.
Esquema
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