Fungal flora of the hair coat of Persian squirrel (Sciurus anomalus) with and without skin lesion in Tehran, Iran - 05/03/10
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Summary |
Objective |
To investigate the prevalence of saprophytic fungi and dermatophyte in the hair coat of squirrels with and without skin lesions.
Materials and methods |
Sixty pet Persian squirrels suspected to cutaneous or other disorders were examined in Small Animal Teaching Hospital of the University of Tehran. The samples were collected from all the squirrels studied using sterile toothbrush from the entire body. Skin lesions were scraped by sterile scalpel as well. The mycological analyses were performed by direct microscopy and culture media.
Results |
Of the 60 samples, eight (13.3%) resulted in positive cultures for dermatophytes. The most frequently isolated dermatophytes, obtained from skin lesions, were Microsporum gypseum (3.3%), Microsporum canis (3.3%), Microsporum persicolor (3.3%) and Trichophyton mentagrophytes (3.3%). All samples showed the growth of saprophytes. The genera of saprophytes most commonly isolated were Mucor (38.3%), Penicillium (28.3%), Aspergillus (26.7%), Alternaria (23.3%) and Fusarium (20%). In addition, Malassezia, Rhodotorula and Candida species were the most important yeasts isolated in nine cases (15%).
Conclusion |
Our study showed that squirrels are reservoirs of some pathogenic fungi, which present a healthy risk for humans in contact with them.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Résumé |
Objectif |
Rechercher la présence de champignons saprophytes et de dermatophytes dans le pelage d’écureuils avec et sans lésions de la peau.
Matériels et méthodes |
Soixante écureuils persans utilisés comme animaux de compagnie suspectés de problèmes cutanés ou autres ont été examinés à l’hôpital pour petits animaux de l’université de Téhéran. Les prélèvements ont été recueillis à partir de tous les écureuils à l’aide d’une brosse à dents stérile. Les lésions de peau ont été prélevées avec un scalpel stérile. Les analyses mycologiques ont été réalisées par examen microscopique direct et par culture.
Résultats |
Parmi les 60 échantillons, huit (13,3 %) ont montré des cultures positives à dermatophytes. Les dermatophytes le plus fréquemment isolés, obtenus à partir des lésions cutanées, étaient Microsporum gypseum (3,3 %), Microsporum canis (3,3 %), Microsporum persicolor (3,3 %) et Trichophyton mentagrophytes (3,3 %). Tous les prélèvements ont montré la croissance de saprophytes. Les saprophytes le plus communément isolés appartenaient aux genres Mucor (38,3 %), Penicillium (28,3 %), Aspergillus (26,7 %), Alternaria (23,3 %) et Fusarium (20 %). Par ailleurs, les Malassezia, les Rhodotorula et les Candida étaient les levures les plus importantes dans neuf cas (15 %).
Conclusion |
Notre étude a montré que les écureuils sont des réservoirs de quelques champignons pathogènes qui présentent un risque sanitaire pour les humains en contact avec eux.
El texto completo de este artículo está disponible en PDF.Keywords : Persian squirrel, Pets, Fungal flora, Dermatophyte, Saprophyte
Mots clés : Écureuil persan, Animal de compagnie, Flore fongique, Dermatophyte, Saprophyte
Esquema
Vol 20 - N° 1
P. 21-25 - mars 2010 Regresar al númeroBienvenido a EM-consulte, la referencia de los profesionales de la salud.
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