Le Cofrac rappelle toujours aux évaluateurs missionnés qu’ils doivent évaluer la gestion de la flexibilité de la portée d’accréditation. Cette notion est particulièrement ésotérique si le LBM n’a pas recours aux documents du Cofrac.

Nombres de LBM s’évertuent à recopier la fraction concernée du document SH INF 50. Ce qui n’apporte pas grand-chose à ce qui est tacitement demandé : apporter la preuve de la maîtrise du processus à l’occasion d’un changement (méthodes, appareillage) n’appelant pas de nouvelles compétences. Bien que le Cofrac recommande la plus grande attention sur le contenu de cette procédure, sa pertinence et sa complétude, peu de remarques, propositions d’amélioration et/ou écart sont indiqués dans les rapports d’évaluation, alors que… la plupart des LBM pour lesquels j’ai eu l’honneur de participer à une évaluation soit initiale, soit de surveillance et/ou d’extension ne répond pas aux conseils et attentes déclinés ci-dessous.