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Photogrammetry for 3D digitizing bones of mounted skeletons: Potential and limits - 25/10/16

Doi : 10.1016/j.crpv.2016.08.003 
Marine Fau a, , Raphaël Cornette b, Alexandra Houssaye a
a UMR 7179 CNRS/Muséum national d’histoire naturelle, département Écologie et Gestion de la biodiversité, 57, rue Cuvier, CP 55, 75005 Paris, France 
b Institut de systématique, evolution, biodiversité, ISYEB, UMR 7205, CNRS, MNHN, UPMC, EPHE, Muséum national d’histoire naturelle, Sorbonne universités, 57, rue Cuvier, 75005 Paris, France 

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Abstract

Since the late 20th century, new technologies have provided powerful ways to digitize biological structures in three dimensions (3D). Among those, photogrammetry is a low cost and non-destructive method, which has become increasingly used since the development of the digital camera. Recent studies have demonstrated that reconstructions of isolated elements can be of as high quality as those obtained with laser scanners. Here, we wanted to test the performance of photogrammetry for the quantitative analysis of mounted specimens in museum exhibitions. Indeed, access to material can be an issue in comparative anatomy and, especially, in paleontology. This is notably the case for large, impressive specimens. We performed reconstructions based on acquisitions done under various conditions and also tested the reconstruction performance of two software programs. The resulting 3D models were then compared to a reference object corresponding to the bone of interest digitized with a cutting-edge surface scanner. Our results show that photogrammetry enables quality reconstruction of the almost entire surface of the mounted bone of interest. Photogrammetry thus appears a reliable method perfectly suited to study large specimens exposed in museum gallery.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Résumé

Depuis la fin du XXe siècle, de nouvelles technologies ont fourni des outils puissants permettant de numériser des structures biologiques en trois dimensions (3D). Parmi ceux-ci, la photogrammétrie est une méthode bon marché et non destructive, qui a connu un essor avec le développement des appareils photonumériques. Des études récentes ont montré que les reconstructions par photogrammétrie d’éléments isolés peuvent être d’aussi bonne qualité que celles obtenues avec des scanners surfaciques. Ici, nous avons testé les performances de la photogrammétrie pour l’analyse quantitative de spécimens exposés dans des musées. En effet, l’accès au matériel peut être problématique en anatomie comparée ou en paléontologie ; c’est notamment le cas pour les spécimens de grande taille. Plusieurs reconstructions ont été faites avec des photographies prises dans des conditions différentes, et en utilisant deux logiciels différents, afin de tester leurs prestations. Les modèles 3D obtenus ont été alors comparés à un objet de référence : l’os étudié, numérisé avec un scanner surfacique de pointe. Les résultats montrent que la photogrammétrie permet une reconstruction de bonne qualité de pratiquement toute la surface de l’os étudié. La photogrammétrie apparaît donc comme une méthode fiable et parfaitement adaptée pour l’étude des spécimens de grande taille exposés dans des galeries de musées.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Keywords : Photogrammetry, Mounted skeletons, Paleontology, 3D, Digitization, Agisoft photoscan, VisualSFM

Mots clés : Photogrammétrie, Squelettes montés, Paléontologie, 3D, Digitalisation, Agisoft photoscan, VisualSFM


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Vol 15 - N° 8

P. 968-977 - novembre 2016 Retour au numéro
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