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Anxiety and performance - 07/04/20

Anxiété et performance

Doi : 10.1016/j.encep.2019.07.008 
J. Palazzolo, MD, PhD, HDR a, b,  : psychiatre, psychothérapeute
a Département Santé, université Internationale Senghor (Opérateur direct de la Francophonie), Alexandrie, Egypt 
b LAPCOS (laboratoire d’anthropologie et de psychologie cognitives et sociales), université Côte d’Azur, Nice, France 

Corresponding author. 5, quai des Deux-Emmanuel, 06300 Nice, France.5, quai des Deux-EmmanuelNice06300France

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Abstract

In the world of sport, athletes and their trainers see competitive emotions and, in particular, performance anxiety as one of the most important factors likely to influence the outcome of a sports competition. These emotions attract such vast interest because even today they continue to raise many questions. While positive emotions are generally considered to be largely facilitative to an athlete's performance, the link between negative emotions, and particularly competitive anxiety, and performance seems less unanimous. Some view anxiety as a phenomenon which hampers performance; for them, an anxious athlete is a fragile one. Others view anxiety as a driver and give as examples those athletes who only perform well under the pressure of competition and the anxious state it elicits. There is currently no single model for the relationship between anxiety (or emotions) and performance on which everybody agrees, in spite of the fact that the scientific community has been striving for some time to better understand the links between them. Research carried out to confirm these links has produced inconsistent results which are difficult to interpret as the variables measured (anxiety, emotional states, performance) and the framework of the studies (characteristics of the participants, importance of the sports event) most often differ.

Le texte complet de cet article est disponible en PDF.

Résumé

Dans le monde du sport, les athlètes et leurs entraîneurs considèrent les émotions liées à la compétition – et en particulier l’anxiété de performance – comme l’un des facteurs les plus importants susceptibles d’influencer le résultat final. Ces émotions suscitent un grand intérêt parce qu’elles sont souvent mal comprises, et mal gérées. Alors que les émotions positives sont généralement considérées comme largement contributives à la performance d’un athlète, le lien entre les émotions négatives et l’atteinte d’un objectif semble plus problématique… Certains voient dans l’anxiété un phénomène qui nuit à la performance : un athlète inquiet est un athlète fragile. D’autres considèrent l’anxiété comme un moteur, et donnent comme exemple les athlètes qui ne se dépassent que sous la pression de la compétition et de l’état d’angoisse qu’elle suscite. Il n’existe à l’heure actuelle aucun modèle théorique spécifique permettant d’établir clairement une relation entre l’anxiété et la performance, en dépit du fait que la communauté scientifique s’efforce de mieux comprendre cette dynamique. Les recherches menées pour confirmer ce lien ont abouti à des résultats difficilement généralisables car les variables mesurées (anxiété, état émotionnel, performance) et le cadre des études (spécificités des participants, importance de la manifestation sportive) diffèrent.

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Keywords : Performance anxiety, Competitive anxiety, Competence

Mots clés : Anxiété de performance, Compétition, Compétence


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Vol 46 - N° 2

P. 158-161 - avril 2020 Retour au numéro
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