La néphrine dans la néphropathie diabétique : nouveaux mécanismes moléculaires de néphroprotection - 09/04/08
F. Bonnet
Voir les affiliationspages | 4 |
Iconographies | 3 |
Vidéos | 0 |
Autres | 0 |
La néphropathie diabétique touche environ 30 à 40 % des patients. Elle représente, avec les néphropathies vasculaires, la première cause d’insuffisance rénale chronique [1 ]. Plusieurs mécanismes physiopathologiques sont impliqués dans le développement de l’albuminurie et de la protéinurie au cours du diabète, tels que l’hypertension intra-glomérulaire, l’augmentation de la perméabilité capillaire glomérulaire et une diminution de la charge anionique de la membrane basale. Le blocage du système rénine-angiotensine (SRA) réduit de manière importante l’excrétion urinaire d’albumine et ralentit la progression de la néphropathie chez l’animal et chez l’homme. Depuis les années 2000, on connaît mieux les mécanismes physiopathologiques expliquant l’action néphro-protectrice et anti-albuminurique du blocage du SRA suite à la mise en évidence du rôle des podocytes et des constituants de la barrière d’ultrafiltration située entre deux podocytes, en particulier la néphrine.
Plan
© 2008 Elsevier Masson SAS. Tous droits réservés.
Vol 2 - N° 2
P. 125-128 - mars 2008 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’accès au texte intégral de cet article nécessite un abonnement.
Bienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
L’achat d’article à l’unité est indisponible à l’heure actuelle.
Déjà abonné à cette revue ?