Ischemie arterielle - 01/12/09
Résumé |
Objectifs pédagogiques |
Prendre en charge les accidents vasculaires cérébraux ischémiques avec l’imagerie la plus appropriée au contexte clinique.
Comprendre le rôle de l’imagerie dans la décision de thrombolyse intra-veineuse ou intra-artérielle : évaluer le tissu à sauver et le risque hémorragique.
Messages à retenir |
Etre pragmatique et efficace : le temps c’est du cerveau !
En urgence, dans les moins de 3 heures, la TDM avec angioTDM et éventuellement TDM de perfusion est l’examen le plus approprié pour la mise en route d’une thrombolyse IV.
Si l’organisation permet une IRM sans faire perdre de temps, alors celle-ci peut être préférée à la TDM en raison de l’imagerie de diffusion.
Au-delà de 3 h et avant 6 h pour le territoire sylvien et avant 24 h pour le territoire postérieur, si la mise en œuvre le permet, une IRM avec diffusion, perfusion et angio-IRM est le meilleur examen.
La TDM avec angioTDM et TDM de perfusion peut être proposée en l’absence d’accès à l’IRM.
La décision d’une thrombolyse IA pourra être prise.
Pour les autres cas, si une thrombolyse n’est pas envisagée, l’IRM est le meilleur examen de diagnostic positif et étiologique.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Encéphale, ischémie, Artères, thrombose, Artères cérébrales, fibrinolyse
Vol 88 - N° 10
P. 1320 - octobre 2007 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
