Une enquête menée aux États-Unis révèle que, parmi un nombre déjà impressionnant de professionnels de santé victimes de piqûres accidentelles, il se trouve une grande proportion d’internes évoluant souvent parmi les malades à haut risque. Fait également inquiétant, les chirurgiens concernés négligent le plus souvent de déclarer leur accident. De la prévention, instruite par un meilleur encadrement des professionnels en formation, ainsi que de l’application de meilleures mesures de protection, pourrait venir la solution.