The aim of this review was to analyse the physiological effects of using different low-carbohydrate protocols at intensities where the use of fat as an energy fuel is beginning to decrease, and their possible applications in endurance athletes.

A search was carried out between March and May 2021 in different databases such as Medline (through the public search engine Pubmed) and SPORTDiscus. The search formula used in both databases was as follows: [(periodized nutrition) OR (low carbohydrate) OR (high fat diet)] AND [(endurance sport) OR (athletic performance)] AND [(maximal fat oxidation) OR (crossover point) OR (lactate threshold) OR (VT1) OR (first ventilatory threshold) OR (V-systolic threshold)]. No exclusion criteria was applied.

A total of 111 different results were found within the databases. 93 duplicate references or that not meet the objectives were removed. 5 other articles linked were included for their suitability with the objectives of this review. Twenty-three articles from the literature related to different low-carb strategies in different sports disciplines were finally reviewed.

Increases in FATox and maximum fat oxidation rate (MFO) were reported after low carb strategies. In addition, an increase in the expression of genes related to fat metabolism and adaptations derived from endurance training was observed with these interventions, as well as contradictory results in running economy and other parameters of athletic performance. Although the findings from the use of these dietary strategies on endurance sport performance are not promising at intensities close to the crossover point, their application in glycaemic control and prevention of metabolic comorbidities in the endurance athlete shows promise.

L’objectif de cette étude était d’analyser les effets physiologiques de l’utilisation de différents protocoles à faible teneur en glucides à des intensités où l’utilisation des graisses comme carburant énergétique commence à diminuer, ainsi que leurs applications possibles chez les athlètes d’endurance.

Une recherche a été effectuée entre mars et mai 2021 dans différentes bases de données telles que Medline (via le moteur de recherche public Pubmed) et SPORTDiscus. La formule de recherche utilisée dans les deux bases de données était la suivante : ([periodized nutrition] OR [low carbohydrate] OR [high fat diet]) AND ([endurance sport] OR [athletic performance]) AND ([maximal fat oxidation] OR [crossover point] OR [lactate threshold] OR [VT1] OR [first ventilatory threshold] OR [V-systolic threshold]). Aucun critère d’exclusion n’a été appliqué.

Au total, 111 résultats différents ont été trouvés dans les bases de données. Quatre-vingt-treize références en double ou non objectives ont été supprimées. Cinq autres articles connexes ont été inclus en raison de leur pertinence par rapport aux objectifs de la présente étude. Enfin, 23 articles relatifs à différentes stratégies à faible teneur en glucides dans différents sports ont été examinés.

Des augmentations du FATox et du taux maximal d’oxydation des graisses (MFO) ont été rapportées à la suite de stratégies à faible teneur en glucides. En outre, une expression accrue des gènes liés au métabolisme des graisses et des adaptations dérivées de l’entraînement d’endurance ont été observées avec ces interventions, ainsi que des résultats contradictoires dans l’économie de course et d’autres paramètres de la performance athlétique. Bien que les résultats de l’utilisation de ces stratégies alimentaires sur la performance dans les sports d’endurance ne soient pas prometteurs à des intensités proches du point de croisement, leur application dans le contrôle de la glycémie et la prévention des comorbidités métaboliques chez les athlètes d’endurance est prometteuse.