Rising awareness for women's health has also drawn increased focus on female sexual health. Improved diagnostic sexual medicine instruments are increasingly becoming available for addressing women's sexual function and dysfunction. The present article presents a new schematic biopsychosocial holistic “tool” thatcomes to narrow the existing educational and therapeutical instrumentation gap. This schematic is applied in a regular gynecological office environment with medical and physician assistant (PA) students, as well as gynecological residents, in managing patients’ sexual health problems both face-to-face and by telemedicine. The proposed new “tool” that incorporates the classification, etiology, and treatment (including medications) of the various female sexual dysfunctions, also offers the following practical recommendations: (1) to add “structural discomfort with sexual intercourse” due to pelvic organ prolapse (POP) and urinary incontinence, as a fifth, general form of women's sexual disorders; (2) to add “positional dyspareunia” as a third, specific, form of sexual pain dysfunction; (3) to integrate genitourinary syndrome of menopause (GSM) and sexual desire dysfunction into one comprehensive etiologically diagnostic and therapeutically indicative entity named “sex steroids insufficiency syndrome of menopause (SISM).” This terminological addition should not interfere with the GSM acronym that mostly concentrates on the physical urogenital changes of menopause, including dyspareunia. (“Tool” peer-testing is advisable for establishing utility). The pros and cons for the pointedly specific medicalization of sexuality and its influence on patient categorization, are also examined.

La prise de conscience croissante de la santé des femmes a également attiré l'attention sur la santé sexuelle féminine. Des instruments améliorés de médecine sexuelle sont de plus en plus disponibles pour traiter la fonction et les dysfonctions sexuelles des femmes. Le présent article présente un nouvel “outil” schématique biopsychosocial holistique qui = entre nos mains = permet de réduire le fossé existant en matière d'instruments éducatifs et thérapeutiques appliqués dans un environnement gynécologique ou médical ordinaire avec des étudiants en médecine et des assistants médicaux (AM), ainsi que des résidents en gynécologie, pour gérer les problèmes de santé sexuelle des patients en face à face et par télémédecine. Le nouvel “outil” proposé, qui intègre la classification, l'étiologie et le traitement (y compris les médicaments) des diverses dysfonctions sexuelles féminines, offre également les recommandations pratiques suivantes : (1) Ajouter la “gêne structurelle lors des rapports sexuels” due à la présence d'un organe pelvien lors des rapports sexuels dû au prolapsus des organes pelviens (POP) et à l'incontinence urinaire, comme un cinquième type de troubles sexuels féminins ; (2) Ajouter “la dyspareunie positionnelle” comme une troisième forme spécifique de dysfonctionnement de la douleur sexuelle ; (3) Intégrer le syndrome génito-urinaire de la ménopause (GSM) et le dysfonctionnement du désir sexuel dans une entité complète de diagnostic étiologique et d'indication thérapeutique, appelée “syndrome d’insuffisance de stéroïdes sexuels de la ménopause”. Cet ajout terminologique ne devrait pas interférer avec l'acronyme GSM qui se concentre principalement sur les changements urogénitaux physiques de la ménopause, y compris la dyspareunie. (Il est conseillé de procéder à un test par les pairs de “l'outil” pour en établir l'utilité). Les avantages et les inconvénients de la médicalisation de la sexualité et son influence sur la catégorisation éclectique et multidimensionnelle des patientes, sont également discutés.