Combat sports trigger biological reactions responsible for altering plasma levels of pro and anti-inflammatory cytokines. Thus, although participation in moderate intensity activities can improve the immune function above sedentary levels, excessive and high intensity exercises can damage the immune system, requiring detection of a diagnostic nature in specific sporting scenarios, to enable the planning of adequate periodization.

To synthesize and analyze the effects of combat sports on cytokine behavior; and provide quantitative estimates of the alterations in these markers.

The Embase, MEDLINE/PubMed, Central, Scielo, and SPORTDiscus databases were searched from the oldest records until May/2020. The search strategy included keywords related to the terms “cytokines” and “combat sport”. To be included, studies were required to: (1) evaluate combat sports; (2) evaluate the behavior of cytokines in response to sport; and (3) have an observational design. The search and data extraction processes were carried out by two independent researchers, who followed a standardized form.

In total, 11 studies (n=189 participants, all male) met the inclusion criteria. The combat sports investigated in the studies included: wrestling, judo, karate, kick boxing, MMA, and boxing. With respect to the cytokines, the following were evaluated: IL-1, IL-2, IL-4, IL-5, IL-6, IL-8, IL-10, IL-13, IL-17, TNF-α and IFN. The outcomes demonstrated that there was an increase after exercise in TNF-α, IL-1, IL-6, IL-17, and IFN, whereas IL-8 and IL-10 demonstrated inconclusive outcomes, since the behavior of these cytokines was distinct between the studies. For IL-9, IL-2, IL-5, IL-4, and IL-13 the levels were not detectable.

The presented outcomes could be useful and relevant to understanding the necessary physiological demands in combat sports and enabled us to conclude that, regardless of the level of conditioning, volume, and modality practiced, there is a circumstance that indicates an acute level of stress in response to combat sports in men.

Les sports de combat déclenchent des réactions biologiques responsables de la modification des taux plasmatiques de cytokines pro et anti-inflammatoires. Ainsi, bien que la participation à des activités d’intensité modérée puisse améliorer la fonction immunitaire au-dessus des niveaux sédentaires, des exercices d’intensité excessive et élevée peuvent endommager le système immunitaire, nécessitant une détection de nature diagnostique dans des scénarios sportifs spécifiques, pour permettre la planification d’une périodisation adéquate.

Synthétiser et analyser les effets des sports de combat sur le comportement des cytokines; et fournir des estimations quantitatives des altérations de ces marqueurs.

Les bases de données Embase, MEDLINE/PubMed, Central, Scielo et SPORTDiscus ont été recherchées à partir des enregistrements les plus anciens jusqu’en mai/2020. La stratégie de recherche comprenait des mots clés liés aux termes « cytokines » et « sport de combat ». Pour être incluses, des études étaient nécessaires pour : (1) évaluer les sports de combat ; (2) évaluer le comportement des cytokines en réponse au sport ; et (3) ont une conception d’observation. Les processus de recherche et d’extraction des données ont été effectués par deux chercheurs indépendants, qui ont suivi un formulaire standardisé.

Au total, 11 études (n=189 participants, tous de sexe masculin) répondaient aux critères d’inclusion. Les sports de combat étudiés dans les études comprenaient: la lutte, le judo, le karaté, le kick boxing, le MMA et la boxe. En ce qui concerne les cytokines, les éléments suivants ont été évalués: IL-1, IL-2, IL-4, IL-5, IL-6, IL-8, IL-10, IL-13, IL-17, TNF-α et IFN. Les résultats ont démontré qu’il y avait une augmentation après l’exercice du TNF-α, de l’IL-1, de l’IL-6, de l’IL-17 et de l’IFN, tandis que l’IL-8 et l’IL-10 ont montré des résultats non concluants, car le comportement de ces cytokines était distinct. entre les études. Pour IL-9, IL-2, IL-5, IL-4 et IL-13, les niveaux n’étaient pas détectables.

Les résultats présentés pourraient être utiles et pertinents pour comprendre les exigences physiologiques nécessaires dans les sports de combat et nous ont permis de conclure que, quels que soient le niveau de conditionnement, le volume et la modalité pratiqués, il existe une circonstance qui indique un niveau de stress aigu en réponse aux sports de combat chez les hommes.