Brazilian jiu-jitsu specific training model highly emulates simulated match demands - 05/07/22
Le modèle d’entraînement spécifique au jiu-jitsu brésilien reproduit fidèlement les exigences d’un match simulé
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Summary |
Background |
To compare acute neuromuscular, metabolic, and perceptual responses to a Brazilian jiu-jitsu specific training model (BJJ-STM) in relation to a simulated match (SM).
Method |
Ten male adults and experienced BJJ athletes (aged: 22.6±3.1 years, body mass: 81.6±11.0kg), were randomized to STM or SM, with an interval of five to seven days between sessions. The STM protocol was composed of 5 s of loaded (40% of their body mass) countermovement jumps (LCMJ) interspersed by movements following the BJJ temporal structure (25 s of low-intensity: 5 s of high-intensity). Both conditions (BJJ-STM and SM) lasted 10-min. Before and after each protocol, muscular strength, power, and endurance tests were applied, and physiological (blood lactate and heart rate-HR) and perceptive (rating of perceived exertion-RPE) measures were collected.
Results |
Blood lactate raised significantly (P<0.001), while CMJ (P=0.01), sit-ups, and push-ups in 1minute (both P<0.001) decreased after both BJJ-STM and SM. For between-conditions, isometric handgrip strength (minimum and maximum) showed significantly lower responses after SM (P=0.01 and P=0.02, respectively). HR-related variables (P=0.50), and medicine ball throw (P=0.47) did not differ between protocols. Perceived recovery (TQR) was identical between conditions and RPE was higher after the STM (P=0.008).
Conclusion |
The specific training proposed here seems to closely mimic the effects of a BJJ SM. However, the choice of exercises is essential to modulate training responses.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Résumé |
Contexte |
Comparer les réponses neuromusculaires, métaboliques et perceptives d’un modèle d’entraînement spécifique au jiu-jitsu brésilien (BJJ-STM) en comparaison à un match simulé (SM).
Méthode |
Dix hommes adultes et athlètes BJJ expérimentés (âgés : 22,6±3,1 ans, masse corporelle: 81,6±11,0kg), ont été randomisés pour recevoir STM ou SM, avec un intervalle de cinq à sept jours entre les sessions d’entraînement. Le protocole STM était composé de 5 s de sauts de contre-mouvement chargés (40 % de leur masse corporelle) (LCMJ) entrecoupés de mouvements suivant la structure temporelle BJJ (25 s de faible intensité: 5 s de haute intensité). Les deux conditions (BJJ-STM et SM) ont duré 10minutes. Avant et après chaque protocole, des tests de force musculaire, de puissance et d’endurance ont été appliqués, et des mesures physiologiques (lactate sanguin et fréquence cardiaque-FC) et perceptives (évaluation de l’effort perçu-EPR) ont été recueillies.
Résultats |
Le lactate sanguin a augmenté de manière significative (p<0,001), tandis que le CMJ (p=0,01), les redressements assis et les pompes en 1minute (tous deux p<0,001) ont diminué après BJJ-STM et SM. Pour les conditions intermédiaires, la force de préhension isométrique (minimum et maximum) a montré des réponses significativement plus faibles après SM (p=0,01 et p=0,02, respectivement). Les variables liées à la FC (p=0,50) et au lancer de médecine-ball (p=0,47) ne différaient pas entre les protocoles. La récupération perçue (TQR) était identique entre les conditions et le RPE était plus élevé après le STM (p=0,008).
Conclusion |
L’entraînement spécifique proposé ici semble imiter étroitement les effets d’un SM JJB. Cependant, le choix des exercices est essentiel pour moduler les réponses d’entraînement.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Keywords : Martial arts, Combat sports, Athletic Performance, Wrestling
Mots clés : Arts martiaux, Sports de combat, Performance athlétique, Lutte
Plan
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