Cet article entreprend une analyse méticuleuse du phénomène de l’autoplagiat dans le contexte universitaire, intégrant une investigation étymologique et abordant le sujet à travers une approche systémique qui prend en compte des normes éthiques, des pratiques académiques et des considérations juridiques. En utilisant une méthodologie qualitative, l’étude implique une analyse documentaire rigoureuse ainsi qu’une revue bibliographique, distinguant essentiellement l’autoplagiat du plagiat. De plus, il explore plusieurs facettes de l’autoplagiat, y compris la publication en double, la publication redondante et le « saucissonnage » (salami-slicing), et évalue les points de vue d’experts concernant l’intersection de l’autoplagiat avec les droits d’auteur. Adoptant une approche analytique rigoureuse, l’étude examine également l’autoplagiat au sein de l’écosystème plus large des pratiques de recherche et de publication, soulignant l’importance de reconnaître que l’autoplagiat peut être symptomatique de la pression du « publier ou périr ». Grâce à cette approche intégrée, l’article met l’accent sur la primauté de l’intégrité intellectuelle et la nécessité de traiter la question de l’autoplagiat avec une responsabilité éthique. Dans l’ensemble, l’étude contribue à une compréhension plus complète de l’autoplagiat, de ses caractéristiques distinctives par rapport au plagiat, et de ses implications pour l’intégrité académique et les droits d’auteur.

This article undertakes a meticulous analysis of the phenomenon of self-plagiarism in the academic context, incorporating an etymological investigation and addressing the subject through a systemic approach that takes into account ethical standards, academic practices, and legal considerations. Utilizing a qualitative methodology, the study involves a rigorous documentary analysis as well as a literature review, essentially distinguishing self-plagiarism from plagiarism. Furthermore, it explores various facets of self-plagiarism, including duplicate publication, redundant publication, and “salami-slicing”, and assesses expert viewpoints regarding the intersection of self-plagiarism with copyright. Adopting a rigorous analytical approach, the study also examines self-plagiarism within the broader ecosystem of research and publication practices, highlighting the importance of recognizing that self-plagiarism can be symptomatic of the “publish or perish” pressure. Through this integrated approach, the article emphasizes the primacy of intellectual integrity and the necessity to address the issue of self-plagiarism with ethical responsibility. Overall, the study contributes to a more comprehensive understanding of self-plagiarism, its distinctive features compared to plagiarism, and its implications for academic integrity and copyright.