La prévention, en médecine cardio-vasculaire comme dans d’autres spécialités de la santé, ce n’est pas ce qu’on fait « faute de mieux ». Les conseils d’hygiène de vie, la correction ou la suppression des facteurs de risque, en prévention primaire (prévenir une éventuelle future pathologie) comme en prévention secondaire (empêcher les récidives, maintenir l’état de santé récupéré) constituent l’un des volets du traitement, l’autre étant le recours au médicament. C’est ce qu’on appelle aussi l’éducation sanitaire, qui commence toujours trop tard, chez l’adulte aux habitudes fixées, alors qu’il faudrait commencer dès l’école. C’est aussi connaître les autres risques et... les possibilités de s’en remettre – la réadaptation/réinsertion par exemple.

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Vol 2005 - N° 0008

P. 15-25 - avril 2004 Retour au numéro

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