Zirconium oxyhydroxide nanoparticles prepared by an aqueous route were evaluated for Escherichia coli bacteria encapsulation. A low viability rate was measured 24hours after immobilization that could be attributed to nanoparticle cytotoxicity. Moreover, the presence of glycerol, a long-term cell-preserving molecule, hindered gel formation, probably due to its adsorption on the nanoparticle surface. A comparison with boehmite and ferrihydrite gels previously synthesized following a similar aqueous colloidal route suggests that the generalization of this method will rely on a careful control of the nanoparticle surface reactivity and may require surface chemical modification.

Des nanoparticules d’oxyhydroxyde de zirconium préparées par voie aqueuse ont été évaluées pour l’encapsulation de bactéries Escherichia coli. Après 24heures, le faible taux de survie des bactéries encapsulées reflète probablement la cytotoxicité des nanoparticules. De plus, l’addition de glycérol, utilisé pour préserver les cellules, empêche la formation du gel en s’adsorbant sur la surface des nanoparticules. Une comparaison avec des gels de boehmite et de ferrihydrite obtenus par une méthode similaire suggère que la généralisation de cette voie d’encapsulation colloïdale reposera sur un contrôle précis de la réactivité de surface des nanoparticules et pourrait nécessiter une modification chimique de cette surface.