Traitement de l'impuissance - 01/01/04
Département d'urologie-andrologie, hôpital Robert Debré, CHU Reims, avenue du général Koenig, 51092 Reims cedex France
Service de diabétologie, maladies métaboliques et médecine interne, Hôpital Robert Debré, CHU REIMS France
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Résumé |
Le traitement des dysfonctions érectiles a évolué au cours des dernières années. Si la prise en charge étiologique reste d'actualité lorsqu'elle est identifiée, le symptôme demeure la cible privilégiée. Les traitements oraux (inhibiteurs des phosphodiestérases V) facilitateurs de l'érection, dont les caractéristiques pharmacologiques permettent pour certains d'éviter une programmation de l'acte avec peu d'effets secondaires, sont devenus en quelques années la principale option thérapeutique. Cependant, les injections intracaverneuses de prostaglandine E1 gardent une place importante en première intention ou en rattrapage après échec des traitements oraux. De même, les érecteurs à dépression peuvent également être une alternative pour les patients ne pouvant pas réaliser les injections. Malgré les progrès pharmacologiques, les implants péniens restent indiqués en cas d'échecs des traitements moins invasifs. Chez des patient bien informés, et posés par des urologues ayant une bonne pratique de cette chirurgie, le taux de satisfaction est important. En quelques années, l'arsenal thérapeutique s'est donc considérablement enrichi et permet de traiter pratiquement tous les patients impuissants qui en font la demande.
Mots-clés : Impuissance, Inhibiteurs des phosphodiestérases, Prostaglandine E1, Implant pénien
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