Antibiogramme du méningocoque - 01/01/04
Hernandez Eric : Docteur en médecine, docteur en microbiologie, spécialiste du service de santé des armées
service de biologie, HIA Bégin, 69 avenue de Paris, 94163 Saint-Mandé , France .
Alonso Jean-Michel : Directeur du centre national de référence des méningocoques
institut Pasteur, unité des Neisseria, 28, rue du Docteur Roux, 75724 Paris cedex 15, France .
Nicolas Pierre : Docteur en médecine, spécialiste du service de santé des armées
centre collaborateur OMS de référence et de recherche pour les méningocoques, IMTSSA, Le Pharo, 13998 Marseille Armées , France .
Résumé |
Neisseria meningitidis est responsable de 400 à 500 cas de méningites bactériennes par an en France. La méthode de référence pour l'antibiogramme est la détermination des concentrations minimales inhibitrices par dilution en gélose. Le comité de l'antibiogramme de la Société française de microbiologie recommande de tester la pénicilline G ou l'amoxicilline, le chloramphénicol et la rifampicine. Les souches de sensibilité diminuée à la pénicilline G, de plus en plus fréquentes, peuvent être dépistées grâce à un disque d'oxacilline (1 ou 5 g). Aucune souche résistante au céfotaxime et à la ceftriaxone n'a encore été isolée.
Mots-clés : antibiogramme , Neisseria meningitidis , pénicilline G , résistance a , ux antibiotiques
Plan
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