Quelles sont les indications rationnelles de la coloscopie et de l'entéroscopie ? - 01/01/01
Philippe Berthelemy : Praticien hospitalier, ancien chef de clinique-assistant
Ramuntxo Arotçarena : Assistant des Hôpitaux, ancien chef de clinique-assistant
Unité d'hépatogastroentérologie, centre hospitalier, 64046 Pau cedex France
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Résumé |
La coloscopie en 2000 est, dans la grande majorité des cas, le meilleur examen diagnostique des maladies du gros intestin. Elle n'est cependant pas une arme absolue : dans des mains expérimentées, elle ne permet l'examen de la totalité du côlon que dans 95-98 % des cas, et « rate » des lésions (5 % des polypes, et parfois quelques cancers). De plus, elle n'est pas totalement dénuée de risques (perforation, hémorragie, risque anesthésique) et son coût est élevé.
L'entéroscopie reste un examen de seconde intention destiné à l'exploration des saignements inexpliqués.
Mots-clés : coloscopie, entéroscopie, cancer colorectal, dépistage, rectorragies, anémie ferriprive, test Hemoccult®, melena, troubles fonctionnels intestinaux, endoscopie thérapeutique
Plan
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