Génétique du syndrome des ovaires polykystiques - 01/01/06
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Résumé |
Le syndrome des ovaires polykystiques (SOPK) est une maladie hétérogène. Les preuves d'une composante génétique dans le SOPK sont fondées sur des cas familiaux. La majorité de ces preuves sont en faveur d'une forme de transmission autosomique dominante. Dans le SOPK, la stéroïdogenèse est surrégulée dans les cellules de la thèque, ce qui suggère que l'anomalie génétique y affecte les voies de transduction des signaux contrôlant l'expression d'une famille de gènes. Bien que de nombreux gènes candidats aient pu être proposés, le(s) gène(s) du SOPK n'a (ont) pas encore été identifié(s). Des études de liaison et d'association mettent en cause une région proche du gène du récepteur de l'insuline au niveau du chromosome 19p13.3. De nouvelles approches génétiques, telles que la technologie des microréseaux, ont tenu leurs promesses concernant la physiopathologie du SOPK.
Le texte complet de cet article est disponible en PDF.Mots clés : Génétique, Hyperandrogénie, Ovaires polykystiques
Plan
| Cet article a été publié dans la revue Best Practice & Research Clinical Obstetrics and Gynaecology 2004 ; 18 : 707-18. Il a été traduit avec l'autorisation de l'éditeur. |
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