Place de la biologie parmi les stratégies diagnostiques de la grossesse extra-utérine - 09/01/12
Carole Émile [1]
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La fréquence de la grossesse extra-utérine a doublé au cours des 15 dernières années (2 % des grossesses soit 14 000 par an, en France) devant la recrudescence des facteurs favorisants (salpingite, chirurgie tubaire, tabagisme…). Actuellement, en lien avec la régression des infections sexuellement transmises, le taux semble stabilisé. Le pronostic vital dans les formes graves peut encore être en jeu. Son diagnostic repose sur le trépied “clinique, échographie endovaginale et dosages d’hCG à 0 et 48 heures”.
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Vol 22 - N° 464
P. 13-14 - décembre 2011 Retour au numéroBienvenue sur EM-consulte, la référence des professionnels de santé.
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