Article archivé , publié initialement dans le traité EMC Obstétrique et remplacé par un autre article plus récent: cliquez ici pour y accéder

Résumé

Il y a à peine trente ans les obstétriciens considéraient que l'attention portée à la mère s'accompagnait d'un pronostic foetal acceptable. A partir de 1955, la réduction importante de la mortalité maternelle a permis aux accoucheurs et aux pédiatres de se préoccuper davantage de la santé du foetus et du nouveau-né. Après l'enregistrement du rythme cardiaque foetal et le dépistage des souffrances foetales par l'amnioscopie et les microprélèvements sanguins, c'est grâce à l'échographie qu'a pu être réalisée l'observation directe du foetus et que de nombreuses données physiologiques ont été établies ou confirmées sans recourir aux méthodes invasives.

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