Souffrance foetale aiguë - 01/01/99
Laure Connan : Assistant des Hôpitaux, chef de clinique à la Faculté
Olivier Parant : Assistant des Hôpitaux, chef de clinique à la Faculté
Florence Lesourd-Pontonnier : Praticien hospitalier
Unité de médecine maternofoetale, Fédération des services de gynécologie-obstétrique (professeur JM Reme), hôpital de La Grave, 31052 Toulouse cedex France
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Résumé |
La souffrance foetale aiguë (SFA), l'hypoxie et l'asphyxie périnatales existent encore et restent à l'origine de handicaps sévères. Les moyens modernes de surveillance du travail, discutés ici, en ont diminué la fréquence.
Certaines causes sont encore difficiles à éviter (hématome rétroplacentaire, procidences du cordon...), mais une surveillance attentive des accouchements à risque devrait permettre de réagir à temps et l'étude du pH est irremplaçable. Les pathologies de la grossesse, l'hypotrophie notamment, ne sont pas toujours reconnues ou évaluées correctement, ce qui justifie la surveillance de tout accouchement.
Enfin, on peut regretter que la détermination du pH au cordon ne soit pas considérée comme un critère de qualité de notre activité obstétricale.
Plan
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